De retour chez "soi"

Ils s'étaient assis dos a dos, comme deux jeunes enfants qui se boudent. Tout ce qui restait du brasier était quelques tisons ici et là. Cela faisait bien une heure qu'ils étaient assis là sans bouger. Ils ne disaient rien. Puis, un des deux brisa le silence.

-Presque rien n'est-ce pas?

-Bon d'accord. Sa a coûté un peu plus. Mais c'était la seule façon pour que ce brasier ne s'éteigne pas complètement.

Puis, encore le silence. Le lourd silence dans cette endroit autrefois ci animé. Au bout de deux longues heures, L'autre prit son tour a briser le silence.

-Bon et bien si nous restons la nous n’avancerons pas un brin. Si nous voulons nous réveiller nous devrions nous mettre a l'oeuvre.

-Et que peut t'on faire, monsieur je sais tout

Cette remarque lui valut une puissante claque derrière la tête.

-On peut rallumer le brasier évidemment.

-D'accord mais je ne m'y connait pas moi dans mon monde intérieur! C'est toi le plus habitué! tu devrais m'apprendre au lieux de me frapper!

Une autre claque.

-Ayeuh

-Bon c'est simple. Nous, on est ton âme. La forêt, c'est ton corps. Le feu, c'est ton énergie. La, nous somme plutôt petit a cause du sort de notre frère. Quand au feu, il est presque éteint. Évidemment, tu dois savoir que si il s'éteint complètement, on meurt. Alors si tu veut pas que les derniers tisons s’éteignent, tu devrais m'aider.

Armidir se frotta le derrière de la tête en se relevant péniblement.

-Et on fait sa comment?

-Ba comment tu allume un feu dans le vrai monde?

-Et bien... je prend du bois et je crache dessus?

-... Tu me déçois. Tu devrais savoir que ici ce feu la ne sert a rien. Il faut un dur labeur ici pour le ramener. Au moins, t'a pas besoin de bois. Il est partout. trouve toi deux roche et cogne les ensemble. Tu va bien finir par faire un tison. A partir de la tu pourra souffler dessus et en faire un grand brasier. Mais euh... Bonne chance. C'est long.

-Et toi tu reste là sans rien faire?

-À peu près.

-Pff.

Armidir entreprit donc de refaire son feu interieur, sous le regard amusé d'Armidir. Au bout d'un moment, il se recula et prit une pause.

-Mon dieu sque tu est lâche.

-Parle donc toi. Pourquoi tu m'aide pas? C'est toi qui a causé ça.

-Parce que sais tu combien de fois j'ai rallumé ce brasier?

-Euh... non?

-À chaque fois que tu dort. A chaque fois que tu perd connaissance, je rallume le feu. J'en profite pendant que tu est là.

-Eh ben justement. Si t'as de l’expérience pourquoi tu m'aide pas?

-Bon écoute moi bien. Toi tu veut retourner dans le vrai monde pour revoir ta chère Kara ( il dit se nom avec une certaine répugnance improvisé) alors que moi je ne veut que survivre. Si tu veut la revoir alors travaille bien!

-Pfff.

Ainsi la journée passa. Armidir prenait plusieurs pauses, sous les yeux exaspérés d'Armidir. La nuit venue, Ils s'assirent autour du tout petit feu qu'il avait réussi a allumer.

-Dit donc... Comment ce fait t-il que je ne connaissait même pas cette endroit avant?

-Hmm... Eh bien... Je dirait que c'est car tu n'a jamais été désespéré ou près de la mort comme cette fois.

-Et toi alors? pourquoi t'est là?

-Eh bien sa c'est plus simple... la conscience qui règne ici c'est toi. Alors dans le vrai monde, C'est toi qui contrôle. Ainsi, mon travail a moi c'est de m'occuper de ton corps. C'est comme ça pour tout le monde.

-Mais alors Phénix elle?

-Ah ben pour Kara, les deux esprits dominent alors quand une prend le dessus, l'autre fait mon travail

-Et un humain normal qui n'ont qu'une race?

-Eh bien ce sont deux représentant de cette race là. Les humains les montrent souvent comme un petit ange et un petit démon. C'est à peu près comme sa pour eux

-Alors tu est mon démon?

Un autre claque.

-L'équivalent. Ne va pas penser que je suis un démon.

-Je voit pas pourquoi je dirait sa, Affirma t'il en se frottant le derrière de tête a nouveau.

-Bon allons dormir. Demain sera une bonne journée. Si tu est chanceux... peut être que je vais t'aider demain

Puis ils allèrent dormir.

Le lendemain, la forêt n'avait pas bougé d'un poil.

Armidir remarqua qu'il n'avait pas faim, mais il ne s'en inquiéta pas pour autant. Il reprit donc le travail. Évidemment, Armidir ne l'aida pas du tout. Le soir venu...

-Tu m'as beaucoup aidé... Merci, dit Armidir sarcastiquement.

-Qui t'a dit que je t'aiderait pour ça? Suis moi.

Sans un mot, ils se dirigèrent vers l’extrémité de la forêt. Au delà, c'était une grande plaine vide. Même pas de gazon. Un désert.

-C'est quoi ÇA

-ÇA comme tu dit, ce sont les années que tu a vécu (il pivota et montra la forêt) et ça ce sont les années qui te reste a vivre. Pour l'instant, sa n'a pas vraiment d'importance. Je t'ai amené ici pour t'apprendre quelque chose de bien précis.

-Je sens que sa devient intéressant.

-Idiot... Ce que je vais t'apprendre n'est pas a prendre a la légère. C'est au contraire quelque chose de très dangereux. Je vais t'apprendre comment te rendre ici.

-A quoi c'est supposé me servir? À rallumer le feu moi même? Non merci

-Idiot encore! Sa te servirait a contrôler ton pouvoir draconien au maximum!

-Comment?

-Croyait tu vraiment contrôler ton dragon au maximum? tu ne faisait que faire ce qu'il voulait... ou devrais-je dire ce que Je voulait. Si tu veut utiliser ta puissance à un niveau supérieur, tu dois venir ici. Attend je vais te montrer...

Ainsi se déroulèrent les semaines qui suivirent. Le jour, Armidir travaillait, et le soir, il apprenait. Il devenait de plus en plus fort. Il apprit éventuellement a venir dans son monde intérieur, a contrôler l'afflux de pouvoir dans son système et éventuellement, ils arrivèrent à la fin de l'apprentissage. Le brasier était maintenant presque comme avant. Il faut dire qu'Armidir devenait de plus en plus rapide au fil du temps. Quelques endroits semblaient épargnés, mais Armidir disait que c’était normal et qu'il s'en occuperait.

-Armidir écoute moi. ton corp est prêt a retourner sur Izildor. Mais avant, je dois t'apprendre quelque chose. Il te sera sans doute utile, mais ne t'en sert qu'a dernier recourt. Sérieusement.

-Très bien

Il se sentait euphorique. Il allait enfin rejoindre Kara. Car même ou il était,il lui semblait entendre sa voix la nuit. Il rêvait a elle tout les soirs. Il réussit malgré tout a se controller. Il devait écouter.

-Je vais t'apprendre a sortir tout ton pouvoir d'un seul coup.

- Et me transformer comme ce qui m'a fait venir ici?

-Oui et Non. il y a deux façons. Tu peut te transformer, ou tu peut tout lâcher en un puissant rayon. Les deux sont extrêmement dangereux. Ils vont tout les deux te renvoyer ici en urgence si tu ne fait pas attention comme cette fois-ci. Et même si ils ne te renvoient pas ici, tu devras dormir pour un bon deux jours.

-Ah bon. Intéressant.

-Voici. Les marche a suivre son les mêmes. Tu dois tout d'abord venir ici. Tu te rappelle comment?

-Oui. Je me concentre sur ma conscience et je me persuade que je suis ici.

-Exacte. Tu devras faire vite une fois ici car même si l’extérieur est au ralenti, il n'est pas immobile. Nous devons tout les deux se toucher et se concentrer sur notre main (si évidemment on se prend la main). Là, tu as deux choix. Ou tu m'envoi la plupart de ton âme( Sa te transformera) ou tu prend toute l'énergie en réserve et l'envoi en une direction ( cela créera un rayon surpuissant nommé radio del fuego. Le rayon du brasier.) par mon corps pour éviter la surcharge. Si une seule de ces étapes n'est pas réalisé a la perfection, tu pourrais en mourir. Mainetant, Est-tu prêt?

-Oui.

-Bien. suis moi .

Ils se dirigèrent vers le lieu le plus profond de la forêt. Là, il y avait une sorte de piédestal

-Tient toi là et ferme les yeux. Tu rejoins le vrai monde a nouveau. A bientôt...

Armidir ferma les yeux et...

-AAAAAH.

Il se releva en sursaut. Il sentait son corps en entier endolori et engourdi. Par contre, il était revigoré. Il pourrait là courrir le marathon!

"Bonne chance" entendit t'il dans sa tête

"Merci Armidir" se répondit t'il, doutant qu'il ne reçoive le message

Il se retourna et vit Kara étendue sur le sol. D’ailleurs... où étaient t'ils? ils n'étaient plus dans la neige alors ils devaient avoir été soigné. Ils n’aurait surement pas laissé Kara la si...

Il la secoua doucement

-Kara! tu m'entend? Réveille toi!

-Kara! Tu m'entends? Réveille- toi!

Phoenix était resté auprès de l’âme de Kara, qui était étendue immobile dans l’herbe fraîche et verte, quand elle entendit la voix résonné à travers la forêt sombre. Mais Kara resta inerte, sans bouger un seul petit doigt. Phoenix était folle de rage. Furieuse elle se releva d’un bond et disparu.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle découvrit le visage d’Armidir qui l’a regardait et l’a secouait doucement. Mais il allait être déçu, car devant lui se tenait une Phoenix aux yeux rouges brûlants de colère. Malgré sa faiblesse, elle s’assit, s’accota sur le mur, croisa les bras sur sa poitrine et regarda Armidir droit dans les yeux et lui cria, fâcher :

-Et non! Ce n’est pas Kara! Te rends-tu compte du temps que tu as pris pour te réveiller! Je sais que ça peut paraître fou de se faire dire ça quand on vient juste de se réveiller, mais tu n’as aucune idée de ce qu’elle a dû endurer. Elle croyait que tu n’allais pas revenir. Et même si Armène est une bonne guérisseuse, comment voulais-tu qu’elle sache que tu étais dans un coma magique où je ne sais quoi?

À ses mots, elle se leva, le laissant par terre, mais eut très vite une faiblesse et s’empressa de se retenir contre une chaise.

-Non! NE bouge surtout pas. Je te dis tout ça, car je sais que Kara est trop gentille et que…

Elle fut interrompue par un bruit de pas dans les marches. Armène sortis de l’ombre, suivit de ses 12 enfants qui restèrent cachés dans les escaliers.

-Dieux soit loué! Vous êtes enfin réveillée! Je me présente. Je suis Armène. C’est moi qui ai soignée Kara lorsqu’elle avait perdue la mémoire.


….



Armène sentit alors la tension qui régnait dans la pièce. Et lorsqu’elle se retourna vers Phoenix, elle y découvrit ses yeux rouges.

-Mais…

-Je ne suis pas Kara. Je suis Phoenix! Sa deuxième personnalité! Kara est…, elle hésita, mais elle décida de se rapprocher d’Armidir et s’agenouilla devant lui. Kara est morte pour toi, continua-t-elle d’une voie petite, mais mauvaise. Fait pas ce visage le dragon, je l’ais rattraper à temps. Son cœur se brisait petit à petit. Il ni a pas de manuel qui explique comment ne pas s’inquiéter quand une personne perd conscience. AH! Je te hais et te méprise, mais je vais devoir te supporter, car Kara n’a pas l’intention de te quitter, alors…Je t’aurais à l’œil le dragon.

Emportée par le sommeil, Phoenix ferma les yeux et se laissa tomber.

Phoenix s’approcha de Kara, toujours immobile et lui donna une claque puissante sur la joue. Au bout de deux, Kara se réveilla. Comme si elle avait passé dans un autre monde, elle regarda autour d’elle et demanda :

-C’est ça le paradis?

-Endouille!

Kara tomba nez à nez avec Phoenix qui s’approcha vers son oreille.

-Si tu me refais ce coup là une autre fois et je te jure que je prendrais plaisir à gâcher ta vie avec Armidir.

Kara ne compris pas tout de suite, mais lorsqu’elle regarda dans les yeux de Phoenix, elle comprit et ne prit pas le temps de pensée et disparue aussitôt.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle était accotée sur quelque chose de dur. Elle releva la tête et rencontra les yeux d’Armidir.

-ARMIDIR!, criat-elle, pleine de joie.

Incapable de contenir sa joie, elle sauta au cou de l’homme-dragon et l’étreignit tout en remerciant Phoenix dans son esprit. Pourquoi s’était-elle laissé mourir? Mais elle se consola, car elle savait qu’il en valait la peine et se dit qu’au moins, elle avait Phoenix pour la remettre dans le droit chemin. Elle ne put ensuite empêcher des larmes de joie et de soulagement de couler sur ses joues froides.
Pendant ce temps, Armène regardait la scène, émue et les petites têtes des enfants dépassaient des marches et regardaient les deux aventuriers, intrigués.
Kara lâcha Armidir et le regarda dans les yeux, un sourire malicieux sur les lèvres :

-Quand nous étions dans le château, que voulais-tu me dire avant de tomber dans l’inconscience?

Armidir la secoua un peu, puis elle revint à elle. Mais ses yeux rouge n’annonçaient rien qui vaillent.

-Et non! Ce n’est pas Kara! Te rends-tu compte du temps que tu as pris pour te réveiller! Je sais que ça peut paraître fou de se faire dire ça quand on vient juste de se réveiller, mais tu n’as aucune idée de ce qu’elle a dû endurer. Elle croyait que tu n’allais pas revenir. Et même si Armène est une bonne guérisseuse, comment voulais-tu qu’elle sache que tu étais dans un coma magique où je ne sais quoi?

Kara passa près de tomber de faiblesse mais au moment ou il allait l'aider

-Non! NE bouge surtout pas. Je te dis tout ça, car je sais que Kara est trop gentille et que…

-Dieux soit loué! Vous êtes enfin réveillée! Je me présente. Je suis Armène. C’est moi qui ai soignée Kara lorsqu’elle avait perdue la mémoire

Armidir se retourna vers la jeune dame dans les escaliers. Il lui était reconnaissant de l'avoir sauvé et d'avoir sauvé kara deux fois plutôt qu'une, mais son apparition était mal placée. Du coup, son regard fut un peu plus sec qu'il ne l'aurait voulu.

-Mais…

-Je ne suis pas Kara. Je suis Phoenix! Sa deuxième personnalité! Kara est... Kara est morte pour toi.

Cette phrase le sidéra, si bien qu'il passa près de retomber dans le coma.

- Fait pas ce visage le dragon, je l’ais rattraper à temps. Son cœur se brisait petit à petit. Il ni a pas de manuel qui explique comment ne pas s’inquiéter quand une personne perd conscience. AH! Je te hais et te méprise, mais je vais devoir te supporter, car Kara n’a pas l’intention de te quitter, alors…Je t’aurais à l’œil le dragon.

Ce surnom lui plaisait. En quelque sorte... Il se disait que si elle était la personnalité intérieure de Kara, alors elle devait bien voir sa personnalité intérieur a lui. Du coup, il n'haïssait pas.

Kara retomba endormie. Il la laissa étendue un instant. Il digérait ce qu'elle venait de lui dire. Pourquoi s'était-elle laisser mourir. Idiote. Si il devait mourir, elle devait survivre pour accomplir ce qu'il na pas pu faire. Il lui passerait bien un savon. Il allait par contre au moins attendre qu'elle soit rétablie.

Puis, Kara rouvrit le yeux, qui tombèrent presque automatiquement sur ceux d'Armidir

-ARMIDIR!, criat-elle, pleine de joie.

Elle lui sauta au coup, rassurant Armidir du coup. Elle se sentait bien. Ils restèrent ainsi un court moment, puis Kara, armé d'un sourire malicieux, dit:

-Quand nous étions dans le château, que voulais-tu me dire avant de tomber dans l’inconscience?

Ouch! Il y avait Armène et les 12 enfants. Il était trop gêné. Même sans eux il n'aurait pas osé. Mais que dire... Il se souvint de quelque chose et tenta le tout pour le tout.

-La même chose que tu m'as dit que J'était dans l'inconscience peut-être?

Il espéra que cette réponse lui suffirait, car il n'avait aucune envie de répéter ces mots.

Armène et les enfants, voyant évidemment que la situation devenait plus intime, décida de partir et de les laisser a eux même un instant. Le silence retomba et les deux amoureux se fixaient dans les yeux. Sa se voyait. Ils n'attendaient que ça.

Un frisson lui parcourut la colonne. Son rythme cardiaque s'intensifia. Des gouttes de sueur perlèrent lentement sur son front. Tout cela pour ce simple instant. Depuis combien de temps l'attendait-il? Une semaine? un mois? un an? il avait perdu la notion du temps. Il la connaissait depuis quoi, ½année? Même moins? Pourtant... ils avaient tellement vécu. Ils avaient l'impression de se connaitre sur le bout de doigts. Le temps s'était immobilisé. « Je me demande depuis combien de temps nous sommes inconscient » son esprit voulait changer de sujet. Non. Il allait en finir une bonne fois pour toute. Les bruits de pas résonnaient sur le plafond. Il sentait Armidir s’exaspérer d'attendre, et se demanda si ce n'était pas le cas pour Phénix.

-Tu t'en rappelle?




p.s. Désolé je ne peut pas faire un long post a cause de la situation. J'ai quand même tenté de l'allonger le plus possible.

-La même chose que tu m'as dit quand j'étais dans l'inconscience peut-être?

‘’Mais quel cruche celui-là!’’, s’exclama Phoenix dans la tête de Kara, car elle ne perdait pas une miette de se qu’y se disait. ‘’Trop gêné pour dire deux mots simple devant des personnes...Allez Kara, montre lui que les femmes sont moins poules que les garçons à cette mauviette de dragon de malheur.’’

À cet instant, Kara s’immobilisa. Il avait tout entendue ce qu’elle lui avait dit! Mais elle ne rougit pas. Elle pensait à autre chose. Pourquoi n’avait-il pas donné signe de vie? Peut importait, Armidir l’aimait, tout autant qu’elle et plus rien d’autre comptait. Ils allaient se le dire, le réglé et pouvoir fêter leur victoire comme il se doit avec la famille et ensuite ils voyageraient dans le monde, même si elle en avait vue du monde, en quête d’aventure encore plus dangereuse les unes que les autres ou vivraient paisiblement comme ses parents dans un bois tranquille. Repensé à ses parents l’a rendit triste, mais elle repoussa cette pensée.

‘’Allez! Bouge! Qu’est-ce que t’attend?’’

-Tu t'en rappelle?

-Comment aurais-je pu oublier que je t’ais dit que je t’aimais gros beta!! Mes sentiments n’ont pas changé! Alors faut-il
que je t’embrasse pour conclure ou tu vas te conduire enfin en homme en m’embrasser? Il y a une fête qui nous attend!, répondit-elle, le sourire toujours au lèvre.

-Comment aurais-je pu oublier que je t’ais dit que je t’aimais gros beta!! Mes sentiments n’ont pas changé! Alors faut-il
que je t’embrasse pour conclure ou tu vas te conduire enfin en homme en m’embrasser? Il y a une fête qui nous attend!

Armidir la fixa. Il n'étais pas étonné, mais il trouvait sa phrase quand même un peu brusque. Il prit quelques secondes, puis lui sourit. Il approcha son visage du sien, puis chuchota

-Insinuerait-tu que je serais une poule mouillée?

Mais il ne lui laissa pas le temps de répondre qu'il l'embrassait. Pas brusquement. Doucement. Longuement. Sans aller trop loin. Il se sentait bien. Le monde arrêtait de tourner. Il était libéré de deux lourds fardeaux. Enfin...

Il éloigna son visage, puis dit tout aussi doucement

-Je t'aime Kara.

Il se pencha et lui fit une accolade d'amoureux qui dura un certain temps. Toute sa gène emmagasinée disparaissait peu a peu.

-Je t'aime depuis presque toujours. L’hôpital de Zakarum. Ne nous séparons plus jamais. Veut-tu?

-Insinuerait-tu que je serais une poule mouillée?

Kara allait répliquer que déjà des lèvres se coulaient aux siennes. Elle se laissa emporter par le baiser d’Armidir qui sembla durer une éternité et sentit qu’elle y prenait goût. Puis Armidir s’écarta et lui dit :

-Je t’aime Kara!

Dès l’instant où elle entendit ses mots, plus rien ne comptait. Elle avait eu la confirmation qu’il l’aimait. Une chaleur lui monta au visage et elle ne pu empêcher ses joues d’avoir quelque couleur.

-Je t'aime depuis presque toujours. Depuis, l’hôpital de Zakarum. Ne nous séparons plus jamais. Veux-tu?

Kara réfléchis. N’était-ce pas ce qu’elle venait de penser presque juste à l’instant?

-Plus jamais!, répondit-elle, un grand sourire aux lèvres, À la vie à la mort! Peu importe ce qui arrivera! Viens maintenant, je veux te présenter la famille!

Elle se leva et pris la main d’Armidir et l’entraîna à sa suite dans les escaliers. Lorsqu’elle arriva en haut, elle pointa les marches de l’étage en haut en lui expliquant que les chambres étaient là, lui montra le petit salon qui comportait 2 grands sofas et une petite table installée sur un tapi de sois et où dans un coin, une lampe avec des formes gravés dessus avait été installé. Toujours main dans la main, elle l’amena dans la cuisine où Gilm était encore assis à la table, un journal en main. Lorsqu’il leva la tête, il dévisagea le nouvel arrivant de la tête au pied, puis il tourna son regard vers Kara.

-Je suis content que tu ailles mieux. Je me suis inquiété!

-Je suis désolé Gilm. Je ne peux pas expliquer.

-Bah..ça ne fais rien., laissa-t-il tombé, faignant l'indifférence. L’important c’est que tu sois encore vivante! Qui…

Avant qu’il n’ait pu achever sa phrase, une ribambelle d’enfant entrèrent dans la cuisine tout en sautant et en criant et se jetèrent sur Armidir. Ils tournèrent autour comme des toupies en lui posant 10milles et une question. Juste avant que les enfants ne l’enferment, Kara réussit à s’échapper et rejoignit Gilm à la table et où la petite Rosaline, celle qui avait conduit Kara jusqu’à Armidir et qui était restée avec elle lorsque celle-ci était triste, s’assit sur Kara et rièrent ensemble de la scène, Armidir, prit dans un étau d’enfant. Armène vint à son secours en réprimandant les enfants en leur rappelant que ce n’était pas ainsi qu’on accueillait un invité. Elle salua Kara en lui offrant du thé qu’elle accepta et fit signe à Armidir de venir les rejoindre et lui donnant du thé. Les enfants restèrent collés près du dragonien en le regardant de grands yeux ronds.

Pendant qu’Armidir et Gilm parlaient entre hommes, Kara joua dans les longs cheveux lisses et roux de Rosaline et perdue vite le file de la discussion. Puis ce fut le crie d’Armène qui la réveilla.

-NON! J’AVAIS COMPLÈTEMENT OUBLIÉ! VITE! Il faut se préparé!

-Se préparer?, demanda Kara.

-Le roi a organisé une fête en votre honneur et il souhaite vous rencontrez!

Armène obligea alors Armidir à suivre Gilm. Ils montèrent à l’étage et allèrent se changer, pendant que les femmes faisaient de même de leurs côtés.

Kara aida les filles à enfilés leurs belles petites robes de soirée simple, toutes de différentes couleurs. De loin, on aurait dit un arc-en-ciel! Puis, se rappelant comment faire, elle fit des petites tresses dans leurs cheveux et y mit des fleurs qui allaient avec leurs robes. Kara, qui n’était du tout pas du genre à se mettre ‘’belle’’, sursauta quand elle vit la robe qu’Armène lui montrait avec fierté.

-Elle est pour toi!

-Armène! Je ne peux pas, tu as tant fait pour moi.

-Non, non, non! C’est un cadeau et je veux que tu l’as garde et l’a mette en de belles occasions. Comme ce soir!

Kara enfila la robe sans plus un mot et laissa Rosaline coiffé sa tête même si elle n’avait pas beaucoup de cheveux. Kara portait une longue robe noire lui descendant jusqu’à ses chevilles. La robe avait des manches qui lui arrivaient au coude, puis elles continuaient et se finissaient en voile. Les manches lui arrivaient en bas des épaules, les laissant dénudés. Le haut de sa robe prenait la forme d’un corset qui se resserrait jusqu’à l’étouffée et qui s’attachait par des laçais qui prenaient la forme d’un X dans son dos et qui laissait visible sa peau. Ses cheveux avaient été placés et étaient coiffés. Voilà, elle était prête!
Elle regarda ensuite la petite Rosaline et lui dit:

-Tu vas pouvoir me montrer comment les nains savent faire la fête!!!!

Rosaline sourit à Kara et elles suivirent le reste du groupe qui commençait à monter à l'étage, pendant que Kara pensait dans sa tête qu'elle avait aussi hâte de goûter leur alcool qu'elle n'avais pas encore eu l'occasion de boire! Remarque que Phoenix apprécia ardemment.

Les femmes sortirent du sous-sol et montèrent à l’étage où ils trouvèrent les hommes, qui les attendaient avec une impatience. Kara ressortait du los de couleur d’arc-en-ciel des filles, mais elle en était pas moins ravissante. Kara chercha Armidir, pour voir de quoi il avait l’air, puis une voie retentit :

-Mesdames, vous êtes r-a-v-i-s-s-a-n-t-e!, déclara Gilm, essayant de maintenir une voie douce. Hâtons-nous maintenant! Gimili, tu ouvres la marche!

-Oui sergent!

Kara observa Armidir et fut étonné de remarqué à quel point il était très élégant. Elle marcha vers lui, comme si elle glissait, et elle glissa son bras sous celui d'Armidir et lui sourit. Jalouse, Rosaline se mit à côté de Kara et lui présenta sa main, qu'elle n'ésita pas à prendre et ils suivirent le reste de la famille, qui étaient tous en avant, vers le château du roi où une fête animés les attendait.

Armène poussa malgré lui Armidir en haut avec Gilm pour aller se changer. «Le roi veut nous rencontrer.... super!». À cette pensée, Armidir suivit Gilm jusqu’à une chambre moyenne avec un petit lit très large. Visiblement, un lit double nain. Au fond, il y avait un garde robe dans lequel on voyait beaucoup d'habits trop petits. L'espace d'un instant, il se demanda si il devrait mettre un vêtement nain, mais ses craintes furent soulagés assez rapidement. Gilm sortit du fond de l'armoire un sac transparent avec une grande chemise dedans. Mais il n'avait encore rien vu. Le nain sortit délicatement l'habit et l'homme put l'observer dans toute sa splendeur.

-Comment tu le trouve

-Superbe? vous avez acheté sa pour moi?

-Non Non... Armène aime bien coudre. content qu'il te plaise. Commençons



-Et voila c'est parfait

Armidir se leva et se regarda dans le miroir.

-Wow... Je ne savais pas que les nains étaient de si bon styliste. Merci Gilm. Si tu veux, je te paie une bière là bas

-Hehe bien sur. Je ne dirais jamais non a une bonne bière. D’ailleurs, tu n'en as surement pas encore goûte. J'espère que tu est riche!

Puis ils se mirent a rire bruyamment. Lors-ce qu'ils eurent reprit leurs esprits, ils entendirent des pas monter les escaliers

-Oh cache toi vite tu dois surprendre ta douce.

Cette remarque arracha a Armidir un grimace. Il devrais s'habituer a ce genre de terme maintenant. Il alla se cacher dans la salle de bain. Il entendit vaguement Gilm parler

-Mesdames, vous êtes r-a-v-i-s-s-a-n-t-e!. Hâtons-nous maintenant! Gimili, tu ouvres la marche!

Armidir profita de la phrase pour faire son entrée étonnante. Malgré lui, il espérerait que toutes les femmes se retourne et le trouvent beau. Malheureusement pour lui, Seule une seule femme se retourna. Mais de loin la plus belle. Dans sa ravissante robe noire, ses courbures ressortaient très bien. Elle semblait très serré car elle se moulait a son corps. ses cheveux avaient été attachée à l'arrière de sa tête. Sa lui lui allait très bien.

Puis elle l’aperçut. Sur le coup, elle parut étonnée, mais cette expression se changea rapidement en satisfaction. En effet, Armidir portait un tuxedo des plus ravissant, noir, avec en dessous un chandail blanc.Il portait de gants blancs qui cachaient partiellement ses " ongles", à sagrande satisfaction. Ses pantelons, noirs également, s'accordait à la perfection avec sa chemise. Le tout était repassé, et sans sa poche de tuxedo se trouvait un mouchoir plié, qui bizarrement, lui donnait un style.Mais le plus frappant était sa tête. Adieux la barbe sale qui lui donnait un air de vieil ermite. Même ses cheveux avaient été teints. Ils étaient maintenant bruns avec quelques reflets châtain. Son visage semblait plus jeune de 20 ans.

Il s'approcha de Kara et elle lui prit le bras avec le sien. Leurs première sortie en couple. Car oui, Aucun guillemets n'étaient nécessaire maintenant.
Ils sortirent de la maison et réalisèrent bien vite que la ville était beaucoup plus déserte que d'habitude. Au loin, on entendait de la musique et des cris. Une fête semblerait t'il et cela venait du château.

-Oh non! Nous sommes en retard!Allez venez!

La pauvre Armène du se rendre a l'évidence. Toutes les enfants tombaient en tentant de courir. Les pauvres portaient probablement une robe pour la première fois de leurs vie. À contrecœur, Armène ralentit et attendit le groupe qui marchaient tranquillement vers le château. Armidir et Kara se tenaient. Éventuellement, Armène et Gilm firent de même. Puis, Les enfants copièrent les grands et se tinrent par le bras, frère et soeur ou soeur et soeur. Peu importait pour eux de toute façon. Seule Rosaline tenait encore le brase de Kara, qui se ramassa du coup sans main libre.

Ils traversèrent Knurl Otho, et Armidir put montrer a Kara la splendeur de l'art nain, ce qui fit bien rougir Armène et Gilm. Pour eux, C'est comme si on venait de dire que leur famille était incroyables.

Le château se rapprochait de plus en plus rapidement et la musique augmentait. La fête pouvait commencer...



(Coiffure Kara: ( a peu prés) http://www.organisation-mariage.net/images/coiffure/coiffure-mariage-chignon-banane.jpg )
( La GROSSE inspiration pour Armidir http://www.sixstaruniforms.com/Merchant/graphics/00000001/5301-MEN-TUXEDO-JACKET-b.jpg )

Pendant qu’ils marchaient, Kara ne put s’empêcher de penser à quel point Armidir était encore plus beau qu’avant sans sa barbe de vieil homme et ses cheveux teints en brun! Elle aimait bien ce nouveau changement chez lui qui lui redonnait un coup de jeune. Lorsqu’ils passèrent devant Knurl Otho, Kara écouta les propos d’Armidir qui lui expliquait la splendeur de l’art des nains. Puis enfin, ils arrivèrent dans le château.

Ils furent accueillis chaleureusement par des gardes qui leurs ouvrit la porte sur une longue allée qui menait vers d’autres portes ouvertes sur une foule dansant au milieu, buvant dans un coin et saluant le roi de l’autre. Ils entrèrent dans une grande salle de bal où étaient dressées des tables à buffet, un bar et des instruments. Armène et Gilm les conduisirent vers les trônes où siégeaient le roi et la reine. Ils s’agenouillèrent devant eux avec respect et lorsque Kara et Armidir se relevèrent, le roi déclara :

-VOILÀ NOS HÉROS. CEUX QUI ONT RÉUSSIS À VAINCRE LE MAL ET À METTRE UN TERME À NOS TEMPS DE MALHEUR.

Une clameur retentis dans la salle, tandis que la musique s’était arrêtée et que tous les regards s’étaient dirigés vers les intéressés. Kara resserra la main d’Armidir dans la sienne, gêné par tous ces regards posés sur eux. Elle qui détestait être le centre d’attention. Voyant le malaise, le roi fit signe de la main et la fête redémarra.

-J’espère que vous vous amuserez et que vous profiterez de cette soirée! Ce soir, buvez et mangez à votre guise! Vous ne savez à quel point nous vous sommes reconnaissants, déclara la reine, d’une petite voie, avant que son mari ne reprenne la parole et ne dise son monologue habituel.

‘’MMM!! De la bière gratuite!’’, dit Phoenix dans la tête de Kara.

Kara inclina la tête vers l’avant en signe de respect et de remerciement, puis sans un mot, ils se retournèrent et se dirigèrent vers une table. Avec la permission des parents, les enfants partirent et se perdirent dans la foule peu à peu. Gilm prit Armidir par le bras et l’emmena de force vers le bar pendant que Rosaline essayait tant bien que de mal à entraîner Kara avec elle sur la piste de danse.

-Allez viens danser.

-Non, répondit Kara en riant.

-Si! Sinon je dis à Armidir…

-D’accord, d’accord, d’accord.

Kara suivit Rosaline malgré elle sur la piste de danse où une nouvelle chanson venait de commencer. Le rythme était entraînant et Kara sembla suivre les pas de danse des autres sans difficulté. C’était une danse en ligne où deux personnes se prenaient par la main et traversaient une ligne de nain, homme ou femme, tout en dansant d’une façon étrange, pendant que ceux en ligne tapaient des mains et attendaient leurs tours. La chanson parut interminable!
(danse sur une chanson du CD Piper’s dance : Drowsy Maggie & Rakish Paddy)

À bout de souffle, après avoir dansée durant plusieurs chansons, Kara s’éloigna de la foule dansante et laissa Rosaline avec ses sœurs. Elle chercha Armidir, mais quelqu’un la prit par le bras et la traîna de force vers un des autres bars en lui disant :

-Comme ça tu es une femme qui sait boire! Voyons voir ce que ça donne!

Le jeu était simple, finir le plus de pichet de bière possible, sans tomber à la renverse. Kara affronta plusieurs nains qui ne cessaient de tomber comme des mouches et semblaient frustrés et étonnés qu’une femme aille une soiffe aussi féroce et puisse réussir à les battre. Au bout de 3 nains et d’une dizaine de verre, Kara commença à ressentir les effets de l’alcool et commençait à rire bêtement avec les nains aux blagues qui n’étaient pas drôle et se détacha les cheveux qui retombèrent sur ses épaules. Puis, finissant sûrement son douzième verre, elle se leva, aider par la table, et essaya de trouver Armidir. Elle le découvrit assis à la table, entouré de femmes naines envieuses.
Avec détermination, la jeune femme marcha vers Armidir pour le secourir, marchant croche et riant toute seule. Elle arriva par derrière et pris le bras d’Armidir le tirant vers la piste de danse et dit d’une voie soûl :

-Je…vous..em-p-run-te ce garçon! Viens!

Kara entraîna Armidir, qui ne sembla pas protesté, vers la piste où un slow avait commencé à joué. Kara plaça sa main sur l’épaule gauche d’Armidir et le laissa prendre sa main droite. Elle essaya de le suivre, mais sa vision n’arrêtait pas de bouger et au bout d’un moment, elle accôta sa tête sur le torse d’Armidir.

-Tu sais…Je crois que j’ai pris un petit verre de trop…

Elle releva la tête, le regardant, et continua tout en riant :

-Tu as essayé le jeu! S’il y aurait un concours mondial, je crois…que…je…gagnerais…Une chance que je..suis…là…sinon je crois…qu’elle..t’aurait…dévorées..tout..crue…Surtout que tu es…beau..à craquer et..à..faire…tomber…toutes ses…naines..à la…renverse..

Se sentant bien dans ses bras, elle relaissa tomber encore sa tête sur son torse, écoutant se qu’il lui disait. La chanson sembla durée une éternité. Kara ne remarqua même pas que la chanson avait changé de rythme. C’était comme si ce qui se passait autour d’eux n’existait plus et qu’il ni avait plus qu’eux deux. Ils continuèrent à danser sur le même rythme lent, enlacés l’un à l’autre, ne se souciant pas des autres danseurs qui dansaient sur un rythme endiablés. Kara se laissait bercer par les paroles d’Armidir pendant un moment, puis, sous l’effet de l’alcool sûrement, elle enroula ses bras autour du cou d’Armidir et releva la tête et l’embrassa, l’obligeant à se taire.
Ce fut un baiser, non seulement doux, mais aussi fougueux et passionné. Comme si c’était la première fois qu’ils s’embrassaient. Lorsqu’elle lâcha ses lèvres, Kara partit d’un petit rire franc.

-Tu sais quoi! Je t’aime!, puis elle rit.

Une petite main tapota sa cuisse et la petite Rosaline tendit les bras vers Kara lorsque celle-ci se retourna. Kara lâcha Armidir et essaya de la prendre, mais en vain. Elle avait trop bu. Elle laissa donc Armidir la prendre et ils formèrent un cercle à trois et dansèrent ensemble, tout en riant. Lorsque les jambes de Kara commencèrent à trembler, ils retournèrent à table et Kara dut se tenir d’une main à l’épaule d’Armidir. En allant à la table, Kara balbutia quelques phrases n’ayant aucun sens et partait toujours à rire après chacune. Lorsqu’elle s’assit elle dit :

-ça! C’est ce que j’appelle..fêter!

Armène arriva à l'autre bout de la table en regardant Kara avec de grands yeux rond étonnée:

-Je ne savais pas que tu savais boire comme ça!

-Oui madame, je vais bien, ne vous inquiètez pas. Je sais que j'ai dépassé le couvre feu, mais c'est de sa faute., et elle rit de plus belle.

Armène regarda Kara avec incertitude, puis dit à Armidir:

-Nous y allons! Assure toi qu'elle revienne à la maison entière. Vous pourez allez dormir dans le sous-sol.

Après cela, Kara ne se rappela de plus grand chose. Elle était rentrée avec Armidir. Du moins, avait-il essayé de la ramené puisqu'elle n'arrêtait pas de courire partout et de rire et chanter. Elle marchait croche et imitait la démarche d'Armidir en rigolant. Elle eu au moins la brillante idée de levé sa robe pour ne pas marcher dessus. Elle ne souvint pas comment elle était entrée dans la maison, ni de s'être rendue dans la cave où un lit pour deux avait été installé. Elle se souvint de s'être étendue dans le lit, toujours vêtue de sa robe, d'avoir sentie la présence d'Armidir qui l'avait habrié et qui s'était étendu à côté d'elle, l'enroulant dans son bras et se collant à elle et de s'être endormie immédiatement.

Ils arrivèrent enfin au château ou ils furent accueillis par les gardes. Ils entrèrent et réalisèrent bien vite que la fête avait commencé sans eux. Ils se rendirent devant le roi, puis s’agenouillèrent par respect. Armidir s'attendait a quelque chose comme " merci vous avez tué le méchant " et c'est tout mais non. Il fut plutôt surpris d'entendre:

-VOILÀ NOS HÉROS. CEUX QUI ONT RÉUSSIS À VAINCRE LE MAL ET À METTRE UN TERME À NOS TEMPS DE MALHEUR.

Le salle toute entière se mit a applaudir en leur honneur. Kara lui serra fort la main. Elle semblait mal à l'aise. Le roi le vit presque automatiquement et fit signe l'audience, qui, d'un seul et même mouvement, se remit a faire la fête. Ils se relevèrent et la reine leur dit :

-J’espère que vous vous amuserez et que vous profiterez de cette soirée! Ce soir, buvez et mangez à votre guise! Vous ne savez à quel point nous vous sommes reconnaissants.

Puis le roi fit un petit discours. Armidir écoutait, mais une partie de lui repensait aux évènements passés.

Quand le roi eut finis, Ils partirent vers une table ou Gilm lui prit la bras et l'emmena vers le plus proche comptoir de bière. On aurais dit que toutes le tavernes de la ville étaient représenté ici. Une fois bien installé, Gilm commanda deux bière.

-Eh bien... tu en a accompli des affaires toi! Quand j'y repense, on ne s'est presque pas parlé depuis ton réveil. Qu'est ce que t'es en fait? et t'inquiète pas,je te jugerai pas. J'avais remarqué que tes épaules et des doigts étaient bizarre

-Eh bien... Je suis un Demi-dragon, dit Armidir pas trop fort.

Ainsi Armidir se mit a lui parler de sa race et de sa famille sur un air entraînant, une genre de danse en ligne.

Sa famille... Quelle famille. Il n'en avait plus. Ses parents, oncle et autres avaient été tués par son frère, et lui il avait tué son frère. Il était le dernier demi dragon. Et surement le dernier a jamais car pour garder le titre de «Demi» dragon, il devait avoir un enfant avec un autre demi dragon. Or si les tendances se maintenaient, il allait avoir un enfant mi humain, ¼de dragon et ¼ loup. Quel drôle de mélange. Un type qui peut se transformer en loup qui crache du feu... Reste qu'il était le dernier demi dragon. E cela le chagrinait. Beaucoup.

Ainsi, Gilm et lui calèrent de bières ( une à presque chaque taverne du coin numéro un et déjà il dut prendre une pause. Il y avait BEAUCOUP trop de tavernes ici). Lui et Gilm se dirigèrent vers une table quand ils firent assaillis par de dizaines de naines qui les entourèrent. Armidir, un peu étourdis, fut frappé par le mal de tête que ces filles lui donnaient. Il y en avait tellement qu'il ne voyait même plus Gilm ( en fait, Armène avait vu la scène et elles'était élancé pour retirer son chéri de ces succubes)Ainsi, Quand Kara apparut, il fut soulagé.

-Je…vous..em-p-run-te ce garçon! Viens!

Mon dieu. Elle était saoule. Malgré tout, il se laissa entraîner sur la piste de danse ou un slow avait commencé. Ils commencèrent a danser maladroitement mais elle finit par accoter sa tête sur lui.

-Tu sais…Je crois que j’ai pris un petit verre de trop…

Elle releva la tête, puis lui dit en riant.

-Tu as essayé le jeu! S’il y aurait un concours mondial, je crois…que…je…gagnerais…Une chance que je..suis…là…sinon je crois…qu’elle..t’aurait…dévorées..tout..crue…Surtout que tu es…beau..à craquer et..à..faire…tomber…toutes ses…naines..à la…renverse..

Hehe... Il savait bien...

-Ne t'inquiète pas Kara. Je suis et serai toujours a toi... et on s'en fou que tu aie un verre de trop. Après tout, c'est ta soir-

Il fut coupé par Kara qui, sans aucune raison, se releva et l'embrassa. Il ne s'y attendait pas, mais ne fut quand même pas surpris. Par contre, elle avait une forte haleine d'alcool qui lui aurait levé le coeur si il n'en avait pas une lui aussi.

-Tu sais quoi! Je t’aime!, puis elle rit.

Rosaline arriva par derrière et demanda à se joindre. Tant pis pour le romantisme... de toute façons, elle était saoule. Kara tenta aussi bien qu'elle put de la prendre mais en vain, Armidir dut la prendre lui même. Ils dansèrent ainsi tout les 3 pendant un instant, puis il retournèrent à la table. Armène et Gilm se préparèrent a partir. La naine dit quelques mots a Kara puis ils partirent. Peu de temps après Armidir et Kara firent de même

Sur le chemin, Kara n'arrêtait pas de courir et de faire des folleries. «Ne plus jamais la mettre saoule a ce point» se dit Armidir qui marchait tranquillement derrière elle. Soudainement, elle s’arrêta et dit

-Armidir... je me sens mal...

Oh oh... Le message était clair. Il l'amena rapidement vers un petit coin ou elle se libéra de tout l'alcool qu'elle avait ingurgitée. Après s’être essuyé avec le pauvre mouchoir qu'Armidir avait dans la poche, elle s'endormit. Armidir la prit et l'emmena jusque à destination. Elle se réveilla quand Armidir arriva en bas pour la coucher. confuse, elle s'étendit dans le lit toute habillée et s'endormit aussitôt.Armidir finit de se préparer et entama sa nuit à son tour.

Il ouvrit les yeux. Il se tenait debout avec de l'eau à la cheville. Une lueur verdâtre semblait émaner de son corps Tout le reste était noir. Il était dans l'eau dans le noir. Seul. Seul. Ce mot lui pesait sur les épaules comme si on lui avait mit un sac a dos de 20 000 kilo sur le dos. Il s'écroula sur le sol. Seul. Il l'entendait dans sa tête. Puis une main se posa sur ses épaules. Déjà la lueur verte semblait plus brillante. Seul.. as seul... Pas Seul. Il ne l'étais pas. Il s'essuya le visage discrètement. Kara l'aida a se lever. Il 'était pas seul et ne le serait plus. Il se retourna. La vision de la tombe de ses parents lui faisait trop mal. «Merci Kara...»

Il ouvrit les yeux. Il était couché sans le lit. Il souriait.

Un rayon de soleil traversa les rideaux et alla s'écrasa sur Kara. Dès qu’elle eut ouvert les yeux, sa tête explosa. C’était comme si des milliers de personnes s’étaient mis en quête de la faire souffrir et n’arrêtaient pas de frapper sa tête. Elle s’assit péniblement sur le lit, tenant sa tête entre ses mains. Elle se regarda.

‘’Mais!’’

Elle portait toujours la robe qu’elle avait mise durant la soirée. Elle essaya de se rappeler se qui c’était passé, mais elle n’eut que de brève flache. Sa vision se remémorait tout, jusqu’à se qu’elle commence à boire, puis après, le vide. Kara avait déjà eut cette sensation de néant. Un trou de mémoire. Pas aussi intense que la fois où elle avait perdue complètement la mémoire. Elle se rappela néanmoins qu’elle était revenue avec Armidir et qu’elle s’était écroulée sur le lit dès l’instant où elle avait franchis la fin des marches. C'est alors que son mal de tête se dissipa peu à peu, et elle pu réfléchir correctement.

‘’T’inquiète pas pour ta mémoire. Je m’en occupe. Tu sauras ce qui s’est passé au fur et à mesure que je te les montrerais.’’, lui répondit Phoenix.

Maintenant que cette question était réglé, il n’en restait plus qu’une. À savoir, ce qu’ils allaient faire ‘’maintenant’’. Kara n’avait jamais imaginé ce qu’il allait se passer. Elle pensait qu’ils allaient sûrement mourir en sauvant ‘’le monde’’, ou se séparer quand ce serait finit, car de toute façon, personne ne voulait d’elle. Mais le destin en avait décidé autrement et il avait fait en sorte que son destin et celui d’Armidir se croise. C’est avec tristesse que Kara réalisa que maintenant, il ne leur restait plus de famille. Avant, Kara savait qu’elle n’en avait plus, mais lorsqu’elle avait découvert que son père était en vie, une lueur d’espoir avait ravi la jeune fille. Mais à présent, il avait de nouveau disparu. Néanmoins, maintenant, il restait Armidir, qui deviendrait sa famille, son amour.
Elle se retourna et vit qu’il était étendu sur le ventre, dormant paisiblement. Elle décida donc d’aller se changer et de revenir le voir par la suite. Elle alla donc enfiler sa tunique noire, et revint dans la cave. Kara prit son élan et sauta sur le lit, espérant ainsi le réveillé, mais il restait aussi immobile qu’une statue. Kara le retourna donc, et lui donna un bec sur le front et attendit, étendue sur le ventre, les mains sous son menton. Lorsqu’il ouvrit les yeux, elle laissa le temps à Armidir de se réveiller en lui disant bonjour.

Quelque minute plus tard, tout deux étaient assis, sur le matelas, dos accoté sur le dossier du lit et se tenait la main. C’est Kara qui commença à parler :

-C’était amusant hier soir. Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas amusé autant. Même si je me souviens très peu de ma soirée, mais ça va me revenir. Disons que lorsqu’il y a de l’alcool, parfois je ne peux pas m’en empêcher et je bois comme 10. Et toi tu as apprécié?

……(Elle le laisse répondre.)


-Sinon…, elle hésita puis, je ne suis pas doué pour ses trucs là. Est-ce…Que..As-tu déjà pensée à ce qu’il nous arriverait quand tout serait finit? Moi je n’imaginais pas que nous en serions là…Mais je ne parle pas en mal, détend-toi, je dis juste que, ça été si soudain. Je me demandais bien ce que nous allions faire. Voyager, explorer, découvrir de nouvelle aventure, se construire une maison, fonder une famille…Pleins de possibilités s’offre à nous. Je ne sais pas ce que je ferais. Je ne suis pas une fille très prévoyante disons. J'aime vivre au jour le jour. Qu’as-tu en tête toi?

Armidir ouvrit péniblement les yeux. sa tête lui faisait mal. Il vit Kara au dessus de lui. cela lui fit un certain choc de se réveiller soudainement un matin dans le même lit qu'elle.­­­

Au bout d'un certain temps, ils étaient assis tout deux contre la tête de lit. Ce mystérieux rêve lui restait en mémoire. «Seul?»


-C’était amusant hier soir. Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas amusé autant. Même si je me souviens très peu de ma soirée, mais ça va me revenir. Disons que lorsqu’il y a de l’alcool, parfois je ne peux pas m’en empêcher et je bois comme 10. Et toi tu as apprécié?

-Mmmh. Il réfléchit un instant. Oui, mais surement pas autant que toi. J'ai goûté à plein de bières différentes avec Gilm. Ces nains sont définitivement bons. Mais appart sa c'était amusant. Mais je suis quand même étonné que le roi ne nous parle pas plus. Peu importe...

-Sinon…, elle hésita puis, je ne suis pas doué pour ses trucs là. Est-ce…Que..As-tu déjà pensée à ce qu’il nous arriverait quand tout serait finit? Moi je n’imaginais pas que nous en serions là…Mais je ne parle pas en mal, détend-toi, je dis juste que, ça été si soudain. Je me demandais bien ce que nous allions faire. Voyager, explorer, découvrir de nouvelle aventure, se construire une maison, fonder une famille…Pleins de possibilités s’offre à nous. Je ne sais pas ce que je ferais. Je ne suis pas une fille très prévoyante disons. J'aime vivre au jour le jour. Qu’as-tu en tête toi?

Mouais... Sa devait bien venir un jour.

-Eh bien... moi j'aimerais bien repartir à l'aventure. Après tout ce temps, je suis comme devenu accroc. mais si tu préfère, on pourrait se trouver une maison. Ici peut-être. C'est bien la seule ville qui nous a accepter correctement.moi en fait -

Il fut coupé par une toux grave qui lui serra la gorge douloureusement. «Mais voyons! je ne suis pas malade!que se passe t'il?»


-Magnifique... Magnifique...

Il observait attentivement sa création. une merveille en effet

-Une parfaite réplique du meurtrier! et tout cela grâce a moi! Cette petite larve fait des merveilles!

La chose s'anima. Elie avança un peu dans la salle confuse. puis, elle se tourna vers son créateur.

-Ehhm... Ou suis-je?


Extrait du livre : L'encyclopédie des maladies et symptômes des Terres d'Isildor, Page 393, chapitre: Les Symptomes et ses causes.

La Toux

La toux peut se diviser en deux catégorie. La toux grasse, et la toux sèche. La toux sèche est causé généralement par une poussière ou une irritation de la gorge. Sa différence avec la toux grasse est simplement que la toux grasse semble engorgée dans le mucus alors que la toux sèche ne l'est pas. La toux grasse peut être causée par diverses maladies, dont le rhume et la grippe.Elle a tendance a plus faire mal que la toux sèche, mais semble aussi bien plus efficace.

NOTE: La toux grasse, si elle n'est pas causée par une maladie, peut être causé par la nature elle même. Les rares cas observé en sont morts, mais certaines personnes affirment les avoirs revus bien en chair plus tard. La cause reste a déterminer. SI VOUS PENSEZ ÊTRE UNE DE CES PERSONNES MALCHANCEUSES, CONTACTEZ L'URGENCE IMMÉDIATEMENT POUR RECEVOIR DES SOINS


Il reprit son souffle. Sa gorge brûlait.

-Ne t'inquiète pas Kara. Je vais bien. Je dois juste avoir attrapé une grippe à la citadelle. Alors. Que disait-tu?

-Eh bien... moi j'aimerais bien repartir à l'aventure. Après tout ce temps, je suis comme devenu accroc. Mais si tu préfère, on pourrait se trouver une maison. Ici peut-être. C'est bien la seule ville qui nous a accepter correctement.moi en fait –

Soudain, Armidir se mit à tousser comme si on avait coupé son souffle. Kara se releva et pencha la tête vers lui inquiète, mais celui-ci lui assura :

--Ne t'inquiète pas Kara. Je vais bien. Je dois juste avoir attrapé une grippe à la citadelle. Alors. Que disais-tu?

Déconcertée, Kara garda pour elle son inquiétude et se redressa sur le dossier du lit.

-Eh bien…L’idée de repartir ne me déplaît pas. C’est pas que je n’aime pas la famille ou les nains, puisque comme tu as dit, se sont les seuls qui ne nous ont pas repoussés, même s’ils ne savent pas que je suis un loup-garou, mais je n’aime pas être enfermée et comme la ville est construite dans la roche, je mis sens pas très à l’aise. Nous n’avons peut-être pas de maison, mais je dois t’avouer que la forêt, l’herbe qui pousse, l’odeur de la nature, toutes ses choses me manquent. La forêt c’est comme ma maison. J’y ai vécu lorsque j’étais petite et encore par la suite. Et même si nous ne sommes pas acceptés dans les autres villages, ça ne changera rien. On pourra quand même se construire une vie. Et ce n’est pas comme si on ne reviendrait pas. Puis même si on se construit une maison, on va pouvoir quand même repartir à l’aventure.

Kara s’arrêta pour prendre son souffle. Elle venait de dire les trois dernières phrases un peu trop rapidement. Elle n’aimait pas prévoir. Elle se tourna vers Armidir, qui avait une drôle d’expression sur le visage. Alors, d’une douceur infinie, elle leva la main d’Armidir, toujours dans la sienne, et déposa sur ses doigts un frêle baiser. Puis quand elle rencontra son regard, à l’aide de ses sens, elle capta quelque chose d’étrange en lui. Son malaise qu’il venait d’avoir n’était pas un rien. Kara ne laissa pas voir à Armidir ce qu’elle venait de découvrir et lui dit tout simplement:

-Que dirais-tu de partir aujourd’hui? Ou demain si tu préfère?

-Eh bien…L’idée de repartir ne me déplaît pas. C’est pas que je n’aime pas la famille ou les nains, puisque comme tu as dit, se sont les seuls qui ne nous ont pas repoussés, même s’ils ne savent pas que je suis un loup-garou, mais je n’aime pas être enfermée et comme la ville est construite dans la roche, je mis sens pas très à l’aise. Nous n’avons peut-être pas de maison, mais je dois t’avouer que la forêt, l’herbe qui pousse, l’odeur de la nature, toutes ses choses me manquent. La forêt c’est comme ma maison. J’y ai vécu lorsque j’étais petite et encore par la suite. Et même si nous ne sommes pas acceptés dans les autres villages, ça ne changera rien. On pourra quand même se construire une vie. Et ce n’est pas comme si on ne reviendrait pas. Puis même si on se construit une maison, on va pouvoir quand même repartir à l’aventure

Whoa. Sa en faisait de l'information d'un coup. Mais sa se tenait. N’empêche que l'idée de quitter la magnifique ville lui déplaisait un peu. Eh bien tant pis. Il faut l'admettre, il a lui aussi vécu dans la forêt si longtemps qu'il s'est mit a l'apprécier.

Un gout métallique lui habitait le fond de la gorge, probablement a cause de sa toux. Cela lui faisait faire des grimaces. Malgré tout, il sentait en lui une faiblesse. Étais-ce une bonne idée de quitter la ville? Que faire...

Kara prit sa main et y déposa un doux baiser. Armidir se sentit rougir un peu.

-Que dirais-tu de partir aujourd’hui? Ou demain si tu préfère?

-Euh... en fait j'aurais plus pensé à après demain ou l'autre jour après car il faut bien laisser le temps a la famille de se "faire" a l'idée que nous partons. Un préavis. Je ne crois pas que quitter comme sa sans avertir serait très poli, mais si tu ne te sens pas bien ne nous attardons pas.

Armidir se leva. Il avait les jambes engourdie. Il alla se changer puis monta en haut ou un petit déjeuner les attendaient. éventuellement, Kara arriva et ils finirent de manger ensemble en haut. Quand ils eurent finis, la famille arriva toute entière ou presque pour débarrasser la table. Armidir en profita pour les complimenter sur le déjeuner, remarque que Armène apprécia beaucoup. Puis vint l'heure de leur annoncer le départ...

-Euh... en fait j'aurais plus pensé à après demain ou l'autre jour après car il faut bien laisser le temps a la famille de se "faire" a l'idée que nous partons. Un préavis. Je ne crois pas que quitter comme sa sans avertir serait très poli, mais si tu ne te sens pas bien ne nous attardons pas.

Kara ressentit l’hésitation d’Armidir. Elle comprenait qu’il ne voulait pas partir, car il semblait s’être attaché à la ville. Elle accepta donc de rester encore quelque temps, malgré son désir de ressentir l’air de la nature à nouveau. Armidir se leva par la suite et partit à l’étage. Kara le suivit, tout de suite après, mais elle alla faire un tour dans l’ancienne chambre avant de le rejoindre à la cuisine. Elle prit ses armes qui semblaient être restées en place. Elle prit ensuite sa ceinture, sur laquelle se trouvaient ses dagues, son épée, la précieuse dague d’argent qu’elle avait confié à Armidir il y avait à peine quelque jour et la flûte de sa famille, qu’elle avait reprise lorsqu’il était dans le coma. Elle redescendit ensuite dans le sous-sol, puis rangea ses armes dans un tiroir d’un petit bureau qui avait été installé juste à côté du lit. Elle était sur le point de ranger sa flûte quant elle arrêta son geste et eut un flash.


-Papa! Papa!

-Oh ma chérie!, s’écria l’homme en prenant la petite fille aux cheveux noirs corbeau dans ses bras en l’a soulevant dans les airs.

Il l’a contempla un instant, puis la reposa. La petite fille lui montra sa trouvaille.

-Regarde ce que j’ai trouvé! Maman m’a dit qu’elle est à toi et qu’il ne faut pas y toucher, mais elle m’a attiré.

-Eh bien, cette flûte Kara, est magique.

-Magique!, s’émerveilla l’enfant.

-Oui. Elle a été forgée par les elfes eux-mêmes. Au tout début, ils les avaient forgés pour pouvoir dompter les animaux trop sauvages pour les empêcher de détruire leur village, puisque comme tu sais les elfes vivent dans les forêts. Cet objet avait été crée, et est fait à partir de la magie elle-même et a été légué de père en fils. Jusqu’à ce qu’un jour, d’autres créatures apprennent l’existence de l’objet. Certains ont réussit à se l’approprier, soit par le marchandage, mais d’autres par le vol en tuant son propriétaire. Car vois-tu s’est un objet très convoité. Elle est en même temps un outil et en même temps une arme. Un jour, voyant que des personnes malintentionnées s’en servait contre les autres créatures, les elfes ont décidés de les détruire. Grâce à un lien maintenue avec l’objet, ils ont réussit à tous les récupérés et à les détruire. Excepté une. Celle de ta mère. Elle est unique, car s’est elle-même qui l’a forgé, ce qui explique que les autres elfes ne l’ont pas retrouvé et détruite. Mais elle a aussi ajouté un petit grain de plus de magie, ce qui fait qu’elle est plus puissante. Et regarde, même nos noms sont inscrit dessus.

La petite fille regarda la flûte de plus près, et encore plus émerveillé elle demanda :

-Mais que fait-elle?

-Elle a un pouvoir de contrôle. Comme outil, elle réussit à calmer les sentiments trop forts qu’une créature ne réussit pas à maîtriser. Comme la colère, la douleur, la tristesse, la peur. Même pour les animaux blessés, on peut réussir à l’apaiser assez pour pouvoir le guérir. Comme arme, les gens s’en servent de façon contraire. Ils ne guérissent pas, mais créer. Au lieu de calmer la colère, par exemple, ils peuvent l’attiser ou la créer. Tout dépend aussi de la mélodie joué.

Une femme entra ensuite dans la salle et dit sur un ton de reproche.

-N’est-elle pas trop jeune pour entendre de telle histoire!

L’homme se releva et pris la femme dans ses bras et l’embrasa d’un long baiser langoureux. La petite Kara s’approcha ensuite et se joignit à l’accolade.

-Tu me montreras comment en jouer un jour?

Le père mis un genou à terre pour se mettre à sa hauteur en lui donnant la flûte.

-Bien sûr! Et un jour, cette flûte t’appartiendra Kara. Elle n’est pas comme les autres, car grâce à sa magie, elle peut être un bon compagnon de voyage. Et pour les personnes comme toi et moi, elle nous est très utile et même indispensable. Alors, veilleras-tu à se qu’elle ne tombe pas entre de mauvaise mains?

-J’y veillerais.

***

Puis le souvenir s’effaça et ses dernières paroles volèrent dans l’esprit de Kara, qui serra la flûte contre son cœur et se répétant les paroles de son père. Kara la rangea précieusement dans le tiroir, puis elle monta rejoindre Armidir où un déjeuner l’attendait. La famille les rejoignirent quelque instant après et aidèrent à débarrasser la table. Puis les enfants partirent dehors et ils ne restèrent que les adultes assis autour de la table, sirotant un bon thé. Kara allait aborder le sujet de leur départ, mais Armène l’a devança.

-Alors! Que comptez-vous faire? Y-a-t’il de la famille qui vous attends à quelque part?

Kara reçut comme un choc en attendant cette question puis elle lança un regard vers Armidir et répondit :

-Eh bien, dans quelque jour, nous allons repartir. On ne sait pas encore où, mais ça n’a pas d’importance. Personnes nous attend, il ne reste que nous. Nous allons partir à l’aventure comme on dit!

-Comme c’est dommage. J’espère que vous ne nous oublierez pas et que vous repasserez par ici. Sinon, c’est bien de partir à l’aventure, mais vous ne planifiez rien d’autre?

-Je déteste trop prévoir. Nous ferons ce que nous voudrons quand le moment sera venu!

Sur ses bonnes paroles, ils continuèrent à parler, de l'avenir, du moment présent et Kara remercia encore Armène pour tout ce qu'elle avait fait, puis elle sortit à l'extérieur rejoindre les enfants et les tigres. Elle leur annonça son départ imminent et pour lui démontrer qu'ils étaient tristes, ils lui sautèrent au cou en l’obligeant de rester.

-Non!
-S’il te plait, grande sœur!

À la fin, quand ils l’a lâchèrent, il ne resta que la petite Rosaline, qui restait solidement accroché autour de son cou.

-Je ne veux pas que tu partes!, larmoyait-elle.

-Je ne peux pas rester ici indéfiniment. Tu sais, chacun doit suivre le chemin que l’on a ouvert pour soit. Mais ce ne sont pas des adieux. Je reviendrais un jour.

-Tu me le promets?

-Je te le promets.

Par la suite, elle alla chercher Armidir pour qu’il se joigne à eux et continuèrent à jouer avec les enfants, puis exténuer, ils finirent étendues sur la roche, à rire et à contempler le ciel en donnant des formes aux nuages. Vers le début de l’après-midi, Kara alla faire un tour en ville pour aller acheter ce qu’Armène avait besoin pour le repas, aidé des quatre petites filles. Avant de partir de la maison, elle embrasa Armidir en lui disant qu’elle ne serait pas longue et elle partit avec les filles, ne se doutant pas de se qui allait se passer.

***

Elles marchèrent jusqu’au marché où plusieurs vendeurs essayaient de vendre leurs marchandises. Les tables étaient alignées de façon à former deux grandes lignes distinctes où les nains pouvaient marchés au milieu. Kara arriva près d’une table où il vendait des légumes, essayant de négocier le prix tout en gardant un œil sur les filles qui n’arrêtaient pas de courir un peu partout.

-Bonjour toi! Tu es perdu! Kara! Vient voir se que j’ai trouvé!

Kara ne l’entendit pas. À cause du brouhaha qui venait de chaque côté et le crie du vendeur qui n’acceptait pas son prix et semblait de plus en plus s’offusquer. Mais la petite fille, intriguée par sa découverte, suivit l’étrange créature jusqu’au fond d’une ruelle sombre. Sa mère lui avait répété mainte fois de ne jamais s’aventurer dans des endroits pareille, mais au moment où elle s’en rappela, la créature l’avait déjà pris par les pieds et l’a traînait de force loin dans les abîmes d’une grotte.

-AAAAHHHHH!!!!!!

La petite lança un cri de détresse, que grâce à son ouï, que seul Kara put entendre et elle s’élança vers la ruelle, suivit par les autres filles. Lorsque Kara arriva sur les lieux, elle remarqua les marques sur la terre et découvrit l’odeur de la petite fille menant droite dans les cavernes des gobelins. Elle se retourna vers les filles en leurs intimant de retourner à la maison aussi vite que possible. Lorsqu’elle fut seule, Kara ferma ses yeux et en se concentrant sur sa colère.

‘’Phoenix, j’ai besoin de toi.’’

‘’Oui..J’ai entendue mon nom…’’

‘’Je ne plaisante pas. Je ne suis pas assez forte pour affronter des gobelins.’’

‘’Pff…Rien de plus facile.’’

‘’C’est parce qu’ils se tiennent en groupe que je ne peux les..’’

‘’J’ai compris. Sinon c’est sûr que tu pourrais les vaincre. Si tu avais apporté tes armes aussi. Alors, que la chasse commence!’’

Kara commença à courir à travers la ruelle, ses yeux devenant aussi rouge que le sang, puis elle sauta les mains vers l’avant et elle se changea en un énorme loup blanc qui couru droit dans les grottes.

***

Phoenix suivit les traces de la petite sans peine, voyant dans le noir et se laissant guider par son instinct de prédateur. Puis elle entendit les écots de cris de la petite fille et elle se laissa guider par elle. Phoenix aboutit dans un grand trou sombre où une petite fille était étendue sur le sol et où un affreux gobelin déchirait ses vêtements et essayait de la morde. Phoenix montra les crocs, baisa la tête et lâcha un grognement qui fit fuit le gobelin. La petite, les larmes aux yeux se tourna sur le ventre. Elle toucha le sol comme une aveugle, essayant de se repérée.

‘’Elle ne voit pas dans le noir’’, souffla Kara.

Phoenix s’approcha de la petite, qui eut un mouvement de recul lorsqu’elle toucha son poil doux et duveteux. Mais Phoenix émit une petite plainte, essayant d’imiter un chien, voulant la rassuré pour pouvoir quitter l’endroit au plus vite avant que la famille de gobelin n’arrive. Comme prévue, la petite s’accrocha au poil de Phoenix et grimpa sur son dos et se coucha dessus. Aussitôt près, Phoenix ne perdit pas plus de temps et s’élança dans les tunnels de la grotte. Puis un écho se fit entendre. Les gobelins l’a suivait de près. Phoenix accéléra le rythme, oubliant les ongles de la fille qui entrait dans sa peau tellement elle s’agrippait à elle. Au bout de quelques minutes, elle réussit à atteindre la sortie. Qui l’a mena droit dans le milieu de la place. Voyant la bête, les nains prirent peurs et s’enfuirent à grand cris. Phoenix fit un petit mouvement sur son dos pour que la petite l’a lâche et dès qu’elle mit pied à terre, elle partit en courant, se réfugiant dans les bras d’une naine qui l’amena vers l’intérieur d’une maison. Phoenix remarqua alors que le soleil était presque couché, se qui laissait le loisir aux gobelins de sortirent. Se qu’ils firent à peine quelque seconde avant que des hommes nains n’arrivent avec leurs haches, prêt à tuer.
Phoenix se rua alors sur les gobelins, les griffant, mordant et déchiquetant. Les nains l’aidèrent à les repousser et les gobelins finirent par disparaître dans les ténèbres. Satisfaite, Phoenix se retourna vers les nains. Ils affichaient encore un air menaçant.

‘’De qui ont-ils peur comm ça?’’

C’est alors que l’un d’entre eux se jeta sur elle, hache à la main. Phoenix réussit à l’éviter de justesse et la hache se planta dans la roche, juste à côté d’elle. Furieuse, Phoenix allait se jeté sur lui et le déchiqueter en mille miette, mais les autres nains commençaient déjà à avancer pour l’attaquer à leur tour. Phoenix se mit alors à courir, zigzagant entre les maisons. Elle finit par atterrir sur le toit d’une maison et allait reprendre son souffle, quand une voie d’étonna.

-IL EST LÀ HAUT!

Des projectiles furent lancer dans sa direction, que Phoenix réussit à éviter sauf une, qui se logea dans son flanc gauche. Elle trébucha et faillit tomber, mais elle tint le cou et continua à courir malgré la vive douleur. La nuit tomba enfin et au bout d’une longue course interminable, elle finit par distancer les nains qui n’y voyaient plus rien dans le noir et elle se retrouva sur le toit de la maison d’Armène. Phoenix reprit son souffle.

‘’Alors c’est comme ça qu’ils me remercient! Après tout ce que j’ai risqué!’’

Puis elle une vive douleur l’a prit et elle échappa une plainte aigu. Phoenix se retourna et essaya d’enlever la dague avec ses dents, mais son essaie fut vain. Elle se concentra alors, fermant ses yeux et elle se retransforma.

-Saleté de nain!, lâcha t’elle entre ses dents, tout en arrachant la dague de sa cuisse qui se mit à saigner abondement.

Mais Phoenix ne s’en préoccupa pas, car la plaie se refermait déjà. Elle se releva et se laissa tomber dans le vide, pour retomber sur la terre ferme avec souplesse. Elle épousseta ensuite son épaule et sentit l’odeur d’Armidir qui n’était pas dans la maison. Elle en profita et allait entrer dans la maison quand elle entendit un étrange bruit strident qui perça ses tympans. Trop douleur, Phoenix plaqua ses mains sur ses oreilles et tomba sur ses genoux. Ensuite, quelque chose s’approcha d’elle en douce et elle n’eut pas le temps de réagir qu’on lui passait déjà quelque chose de piquant autour du cou et qu’on l’a frappait à la tête. Pendant que Phoenix sombrait, Kara espéra dans son esprit qu’Armidir l’avait lui aussi entenue.

Après avoir informer la famille de leur départ, ils allèrent jouer ( peut-être pour une dernière fois) avec les enfants, plus particulièrement Rosaline, qui était affreusement affligée du départ de Kara. Puis, les filles partirent d'un côté alors qu'Armidir partait de l'autre. Il retourna sur Knurl Otho, ou il retrouva très vite le forgeron qu'il avait vu il; y a de cela déjà plusieurs semaines, voir mois. Gilm lui avait dit que les forgerons nains forgeaient de superbe armes et il lui avait même donné un peu d'argent pour s'en procurer une. Armidir fixa le comptoir un instant. il y avait de tout. Accroché au plafond, il y avait les haches, au fond en haut on pouvait voir des boucliers, juste en dessous il y avait les épées, et tout autour se trouvaient les autres objets métalliques divers. Certains d'entre eux étaient un travail de maître et devaient valoir une fortune. Heureusement, il se rapella que le roi lui avait donné une petite bourse pour tout le trouble qu'ils s'étaient donné, lors d'une de leurs arrêts a un bar durant la soirée. Il compta, et avait en tout près de 650 pièces. Assez pour s'acheter une bonne arme. Mais quoi prendre...

La sélection d'armes était énorme. Il dut y aller par élimination. Distance ou corps à corps? Hmm... Disons le deuxième choix. Maintenant... contondant ou tranchant? Tranchant... Il n'aimait pas les marteaux. Cela fait trop barbare. Trop Simple. petite lame, grande lame ou hache de guerre? mon dieu il y a un trop gros choix. Allons pour la grande lame.

Il s'approcha du comptoir et un nain trapu s'approcha lentement. Il avait une choppe de bière dans une main et un marteau de l'autre. Il était apparemment en train de forger quelque chose. Un vrai travail nain.

-E Chpeut ty T'èder l'grand?

Ouch. Tout un accent. le dialogue allait être pénible.

-Euhm... avez vous des épées...

Le nain le regarda d'un air méprisant.

-Bien sur désolé euh... de longues épées... mais pas a deux mains.

-s'a dja plus d'allure ton affère.

Il alla un peu plus loin , ou était affichés les armes. Il en décrocha 5 ou six sans aucun problème, comme si ils étaient léger comme une plume.

-T'es pas d'icitte toé hein? ta pas l'accent sa para.

-Euh.. non en effet.

-Bon j'ai sté affères là

Il laissa lourdement tomber sur le comptoir une bonne dizaine d'épées. Armidir prit le temps de tous les évaluer. Il élimina les trop grosses en partant, puis regarda le poids, la maniabilité, même le style. Il termina avec deux choix. Une épée un peu plus longue, plus encombrante, faite d'un métal bleuté qui luisait à la lumière de l'étale, et une autre visiblement en acier, plus courte, mieux entreposable et probablement plus maniable à cause de sa taille. Le choix était un peu dur et le petit homme commençait a s'impatienter.

-Eummm. vous conseilleriez quoi pour un débutant?

-Ah un pas bon!! fallait l'dire! prend celle la c'é sur!

Il pointait la bleutée

-Mais... Pourquoi?

-Ben c'é simple! Ah les humains... C'est du Mythril!! Sa la, C'est plus léger, plus gossable pi en plus sa pète pô.

-Ah bon?

-Mouai. Staffaire lô lô, c'est comme magique... sa l'est pas! c'est juste comme... E jte Jure si t'est pas bon prend sa.

-D'accord très bien..., c'est combien?

-Pour toé ( il afficha un gros sourire) on va dire 1000 pièces

-Quoi?? je ne sais pas pour ce étal mais une épée ne coûte pas ce prix! Jamais en bas de 300

-300!! t'est Malade!! C'est du mythril! on va dire 750

-Oh tien... Une épée bleu la bas... Pour 300! Au revoir alors...

-NON NON euh... 650?

-575

-625

-600

-600 Vendu

Armidir, satisfait de son achat, distribua les pièces. et prit l'arme, qui venait heureusement avec un fourreau. Il l'attacha dans son dos, de sorte que le manche de l’épée dépasse derrière son épaule. Il trouvait que sa lui donnait un style, malgré que sa jurait avec sa robe rouge. Il se trouva donc des habits plus convenable chez un couturier pour a peu près 7 pièces et retourna à la maison. La bas, il montra l'épée a Gilm

-Wow C'est beau! Bel achat! pour combien?

-Euh... 600 je crois

-600? mon grand tu t'est fait avoir! du mythril sa vaut plus que de l'acier mais pas tant que sa! une épée comme celle la? 350 pièces.

-Aw flûte!

-T’inquiète pas. Sa arrive a tout le monde.

Armidir afficha donc une mine déconfite en descendant en bas poser ses choses. Il s'étendit sur le lit, puis ferma les yeux sans s'endormir. Ou aller après? Kara n'aimait pas prévoir, mais ce n'était pas son cas. Lui , il sentait qu'il devait savoir. Il ne voulait pas partir vers nulle part. Il resta ainsi pendant un moment puis finit par se relever. Il prit son arme et allait sortir pour s’entraîner quand il vit Armène et les enfants, inquiets, devant la fenêtre.

-Que se passe t'il?

-Gilm est parti pour repousser une attaque de gobelins et il n'est pas encore revenu.

Soudain, un bruit sourd se fit entendre, comme si quelque chose de lourd venait d'atterrir sur le toit. Armidir réalisa alors

-Kara!

Il s’élança vers la porte malgré les protestation d'Armène. Il sortit dehors, une main sur le pommeau de son épée, et entama son ascension sur le toit. Arrivé en haut, il ne vit rien. La chose avait du passer. Il s’élança vers le marché et espérait trouver Kara. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il venait tout juste de la rater. Il était presque a Knurl Otho quand il entendit un faible son en provenance du logis. Kara? il retourna sur ses traces en courant tout aussi vite, espérant ne pas arriver trop tard.

-Alors, tu l’as apporté?

-T’inquiète poas. Le paquet va être livré à temps et à l’heure.

-C’est poas ça qui m’inquiète. Tu sais comment sont les pirates du désert. Il trouve toujours l’occasion de t’escroquer.

-Voilà pourquoi je suis celui qui fait la marchandise. Tu sais comment sont les nains à se sujet. J’en ai même fait une bonne aujourd’hui. Je lui ai vendu une épée à lame de mythril pour 600pièces!

-Chapeau l’ami!

Phoenix se réveilla, non sans peine. Elle entendit d’abord des voix. Puis regarda où elle était. Phoenix se trouvait dans une cage de fer dans une pièce creusée à même le sol. Ses poignets et ses mollets étaient solidement attachés à des chaines qui se joignaient au mur et, dans son cou, elle trouva un collier métallique noir dont les piques tranchants étaient placés vers l’intérieur, soit vers son cou, pour l’empêcher de se transformer en loup. Elle remarqua aussi qu’elle était pied nus et que ses vêtements avaient disparus pour faire place à une tunique sal et brune qui lui arrivait aux genoux.
Phoenix ragea sur ses chaines pour tenter de se libérer. Elle ne devait pas rester une minute de plus dans cette prison. Grâce à sa force, les clous se défirent du mur et s’envolèrent en éclat. Elle tenta ensuite de défaire ses bracelets, mais en vain, car il lui fallait une clef et elle ne possédait plus de dague. Phoenix ne s’en soucia pas et sous l’effet de la fureur, décida de tenter de défoncer la porte. C’est à se moment précis qu’un nain entra dans la salle, d’abord furieux, puis s’amusa de la scène en ricanant haut et fort :

-Je ne ferais pas ça, si j’étais toi.

Phoenix fonça tête première. Ses mains rencontrèrent alors l’acier des barreaux, qui ne bougea pas d’un poil, mais qui fit échapper un cri de douleur à la jeune femme. De la fumée sembla sortir de ses mains, qu’elle enleva immédiatement et les examina. Deux longues traces rouges qui avaient brûlées la peau s’y trouvait. Phoenix regarda haineusement le nain et lui grogna dessus.

-Je te l’avais dit. Penses-tu que j’aurais enfermé un loup dans une cage normal? J’uis pas innocent.

Il s’approcha ensuite de la cage, sans crainte qu’il lui arrive quoi que ce soit.

-J’ai ben hâte que tu débarrasse. Tu vas rencontrée tes nouveaux petits amis bientôt.

Phoenix s’approcha le plus près qu’elle pouvait des barreaux, tentant de l’intimidé, sans mot dire. Le nain sembla s’en amusé, puis on entendit au loin.


-Ils sont…

Le bruit se coupa, comme si on venait de lui couper la gorge. Phoenix sourit dans sa cage, car elle sentait l’odeur du sang qui se répandait sur le sol, toujours le regard posé sur celui du nain, dont le regard devenait inquiet. Il s’empressa de monter les marches, mais à peine fut-il arrivé en haut qu’on lui trancha la tête. Le corps tomba comme une masse sur le plancher tandis que sa tête roula jusqu’au barreau de Phoenix, dont un rictus malveillant venant d’apparaître sur son visage. Elle regarda la tête et lui dit :

-Je te l’avais dit!
Phoenix d’eut ensuite faire un effort surhumain pour ne pas succomber à l’envi irrésistible de se transformer en loup pour dévorer le nain.

Mais deux hommes en habits de sable, ressemblant à des momies, le visage caché par un foulard, venait de rengainer leurs sabres et s’avançait vers la prison de la jeune femme. À première vue, elle semblait inoffensive, mais lorsqu’ils arrivèrent à sa hauteur, ils virent le collier autour de son cou et les chaines traînés par terre. L’un deux, le plus imposant, indiqua d’un signe de tête à l’autre d’ouvrir la cage.
Le deuxième homme s’exécuta et à peine la cage fut-elle ouverte que Phoenix en bondit, sautant sur le premier homme pour le faire tomber. Ensuite elle ne perdit pas plus de temps et s’engagea dans l’escalier tout en évitant les flaques de sang pour ne pas glisser. Mais dès qu’elle toucha la quatrième marche, le deuxième homme tira sur sa chaine qui retenait sa cheville et Phoenix tomba tête première dans les marches immaculées de sang.
Une longue plaie s’ouvrit sur son front, dont le sang se répandit sur celui du nain. Sonnée, elle n’eut pas le temps de se retourner, car le premier homme l’immobilisa à l’aide de son genoux qu’il plaqua dans son dos, pendant que le deuxième lui plantait une aiguille dans le cou pour lui injecté une drogue qui paralysa tout son corps, sans toutefois l’endormir. Par la suite, les deux hommes détachèrent ses mains et ses pieds et la transportèrent jusqu’à un passage sous-terrain secret qui abouti à l’extérieur de la ville, là où un bateau à voile les attendaient. Phoenix essaya de bouger, mais la drogue qu’on lui avait injecté plus tôt l’en empêcha. C’était comme si elle était devenue une marionnette et que tout ce qu’elle pouvait faire était de regarder ce qui se passait devant elle.

‘’Ménage tes forces. Je suis sûr qu’Armidir va nous retrouvé.’’, lui dit Kara.


‘’Ah oui! Pff…ça m’étonnerais.’’, répondit Phoenix sur un ton arrogant.


‘’Aie confiance…’’

‘’Espérons au moins que ton ‘’chéri’’ pense à amener nos armes et nos vêtements. Le cuir me manque. J’en ai assez de porter ses affreuses tuniques!’’, coupa-t-elle.

‘’Je suis bien d’accord avec toi.’’

Les hommes des sables embarquèrent Phoenix et Kara dans leurs bateau, l’installant à fond de cale, attachée solidement sur une table, les poignets et les pieds immobilisés par des bandes métalliques faites d’argent. La jeune femme, les lèvres engourdis par la drogue, ne pu laisser échapper un cri et du subir la douleur atroce de sa peau qui brûlait dans un silence agonisant. La douleur fut-elle qu’elle ne pu communiquer d’avantage avec Kara et celle-ci profita de la faiblesse de Phoenix pour reprendre le contrôle de son corps, souffrant à la place de sa compagne. Avant de sombrer, Kara pu distinguée malgré tout un dernier soupir de Phoenix :

‘’Merci…’’

À l’aide du don des vents qu’ils possédaient, les hommes des sables firent voler la voile et le bateau glissa dans le sable, comme si ce n’était que des eaux et partit la où en apporte le vent.

Il arriva bien vite a la maison mais tout était calme... Trop calme pour que Kara y soit. Et encore moins pour que Phénix y soit. Il entra dans la maison. Armène et les enfants n'étaient même plus là. Des traces de bottes indiquaient que des personnes étaient passé récemment. Et ils étaient descendus. Il descendit en bas a toute vitesse, mais trouva seulement, à son grand désarroi, Une petite flaque de sang, et des traces qui repartaient vers en haut. Et a son avis, ils n’en voulaient pas a la famille de Gilm.

Armidir décida de prendre toutes ses affaires. Ils allaient devoir partir plus tôt que prévus. Il prit toutes ses choses, les pactas dans son sac, puis se dirigea vers l'escalier. Au moment de gravir la dernière marche, il se souvint d'une chose. Kara était vraisemblablement dans la misère. Et si il russisait a l'aider, elle serait plus utile avec ses choses. Il prit alors le temps de pacter toutes les choses de Kara, mais décida de garder la flûte a portée de main dans SON sac. Il avait un pressentiment qu'il en aurait besoin.

Armidir sortit en trombe de la maison, juste à temps pour croiser Gilm et les autres nains qui commençaient à s'éparpiller pour retourner cher eux.

-Armidir? que ce passe t'il?

-Kara a disparue... Ce gros loup que vous chassiez n'étais pas un ennemi, et vous l'avez probablement condamné.

Sur ces mots troublant, il partit vers la porte de la cité. Avec un peu de chance, il pourrait les attraper avant qu'ils ne sortent de l’enceinte de la ville. Il arriva à la grande porte et trouva là deux nains, baignant dans un liquide rouge qui sortait de leur cou. Une trace partait vers l'infini du désert. Une large et longue trace. Il vit un peu de sang sortir d'une maison pas très loin, et commença par là. En ouvrant la porte, Il fut accueillis par un corps sans tête. Accueillant... plus loin, deux têtes et un autre corps. Il y a vraisemblablement eu de la bataille ici. Et une cage ouverte. Une cage en étal gris pâle luisante a la lumière.

-De l'argent...

Il kicka une tête avant de repartir. Il enjamba de désert, laissant derrière lui l’immense citée naine

-Je reviendrai...

SUITE DANS LES TERES ARIDES... ENCORE.
( on va finir par envahir le forum avec toutes ces suites)

''Bonne remarque, Armi! Seul chose positive à aller dans le désert pour moi, c'est que je ne mourais pas de chaleur!!'''