Entre les montagnes

Armidir marchait vers... nul part selon lui. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il était cachés des regards honteux dans cette forêt. Il connaissait plutôt bien cette forêt. c'est la qu'il vivait... avant... Il voulait retourner admirer les montagnes comme dans sa jeunesse. À l'age qu'il avait, personne ne le reconnaitrait dans sa maison natale. Enfin,il espérait, car une réapparition comme celle si pourrait causer sa mort. Peu lui importait. Il avait un tout nouveau bâton depuis environs 1 ans et commençait à s'y habituer... tranquillement... Il finit par voir au loin, une grande silhouette à contre jour. Il avala sa salive, comme pour ravaler sa peur, et avança, s'appuyant fermement sur son bâton. Sa ne lui prit pas bien long avant de voir son ancienne maison. un instant, il douta qu'il y ait encore de la vie. Il n'entendais rien. Une émotion lui monta a la gorge. de la peur? il ne voulait pas l'admettre. Au moment ou il prit la décision d'y aller, il entendit un bruit, puis un éclat de vitre. Ensuite, plus rien. Il entra pour voir se qui s'y passa mais ne trouva qu'une ruine et un petit bout de papier, sur lequel il y avait un message. Il la lut.
«Cher Armidir.
Si tu lis ceci, c'est que nous avons déserté. Le village a trouvé la maison et l'ont attaqué. Nous avons combattus, mais en vain. Nous avons du partir vers un autre refuge. Ce taudis, nous ne savons même pas ou nous le ferons. Je suis bien le seul ici à encore t'aimer. Les autres t'ont ou oubliés, ou détesté. Le reste ne connaissent même pas ton existence. Prend cette petite somme d'argent et ne revient pas. C'est pour ton bien.
S'il te plait, survit.
Ton grand frère»

Il soupira, puis une larme coula sur sa joue. il ne la cacha pas. Il savait bien qu'il était seul.Enfin... il espérait. Il regarda la petite bourse de cuir sur le comptoir a coté du message. Elle semblait vide, et il savait très bien pourquoi. l'éclat de vitre devait être des voleurs, car il ne restait plus rien de sa maison d'antan. toutes les oeuvres d'arts avaient été enlevés. Des voleurs devaient venir de partir avec l'argent. devait t'il les poursuivre? non. il ne le ferait pas. après tout, cette famille n'était plus la sienne. il sortit, s'assit sur une chaise,a moitié brulée par l'attaque, probablement. Il regarda au loin.4 montagnes arboraient le paysage. le soleil était juste au dessus d'eux.

-Comme je m'ennuyait de cette chaise et de ces montagnes. Comme je m'en ennuyait... dit-il faiblement

il n'eut pas le temps de formuler un autre phrase. il dormait déjà.

Alors que le mage s’était endormie, les heures passait sans qu’il y est le moindre bruit autour. C’est a ce moment même qu’un cri au loin ce fit entendre :

- HIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiii!!

Ce cri semblait être très aigu, comme si c’était le cri d’une enfant. Ce cri venait de la forêt, dans la partit la plus dense de celle-ci. Au loin dans le ciel, l’on pouvait voir des charognards tel que des corbeau s’envolé comme s’il ce passait quelque chose, une attaque quelconque. Le soleil était en train de ce coucher au loin et il n’allait pas tarder à ce coucher. La distance pour atteindre le cris était à quelques minutes de marche.

Plus loin dans la forêt, une femme elfe était encerclé par des voleurs qui semblaient faire la lois depuis un moment dans ces lieux désert. N’ayant plus rien a ce mettre sous la dent depuis leur pillage du village, les voleurs avaient décider d’attaquer les voyageurs qui passait dans le coin. N’ayant pas fait preuve de prudence, l’elfe n’avait pas prit la peine d’éviter la route qui traversait la forêt, celle-ci c’était fait piégé dans un embuscade. Les voleurs étaient trop nombreux pour qu’elle puisse ce défendre avec ardeur, mais ne semblait pas laisser ces malfrats lui voler ses effets. L’elfe était une femme d’une beauté typiquement elfique, chevelure de neige au éclat d’argent, de grand yeux Turquoise avec un éclat d’orée et un teint de peau claire presque azurer. Elle portait à la main droite une épée courte qu’elle tentait de brandir presque tremblotante devant la situation. Les voleurs n’étaient pas seulement intéressé à la dépouillé, mais aussi à profiter de ses attraits féminin, pourtant l’elfe n’avait pas la moindre idée que ces brutes pourrait prendre avantage sur elle comme des bêtes sauvage. L’elfe de Lune s’écria a nouveau au voleur :

- Vous n’avez pas honte de vous attaquer à une femme !? Ignobles ! Scélérats ! Mécréant ! Si vous oser approcher je vous ferait goûté à la fureur du peuple des elfes !

Pourtant, cette pauvre femme elfe ne fut pas très difficile a maîtriser et les voleurs en profitèrent pour l’attacher à un tronc d’arbre mangeant ses provisions et admirant les petits trésor de la femme elfe. Pourtant, celle-ci n’avait pas dit son dernier mot et criait pour qu’on l’entende, ne sachant pas que le village non loin était abandonné.

- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!

Le mage se reveilla quelques minutes plus tard en entendant des cris de femme.
- Mais qu'est-ce que c'est que tout ces cris perçant! Sa m'agasse! dit-il a haute voix
«Vais-je la sauver?»pensa-t'il « Et si elle me reconnaissait et voulais ma peau? Mais je ne peut pas la laisser la. Elle se fait peut être agresser par les voleurs qui ont pillé ma maison. Je vais y aller»
Malgré ses doutes, il s'élança le plus rapidement qu'il pouvait vers sa direction.Il y arriva au bout de quelques minutes et vit la scène. Une jeune femme ravissante était en train de se faire attacher en tenue d'Adam sur un arbre.Ses vêtements étaient a coté d'elle.Il observa les alentours. Le terrain était heureusement plutôt dégagé. Armidir hésita un moment, puis invoqua une colonne de feu sur les voleurs. Seul un d'eux fut brulé, mais sa suffit pour faire fuir les autres, laissant la femme a son sort. Il attendit un moment, puis regarda la femme encore attachée.Il soupira et resta caché en attendant que les minutes passent.Ensuite, se dit-il, il irait la voir et enlèverais les liens. Il ne voulait pas qu'elle crois que ce soit lui qui ai invoqué le feu. Donc planté la derrière un arbre, il attendit, sa cape sur sa tête pour cacher ses yeux.

((hrp : dsl pour le temps... j'ai été un peu occuper ))



Une colonne de feu apparut soudainement, quelqu’un ou quelque chose avait entendu l’appelle de l’elfe. Les voleurs fuirent leur jambe à leur cou laissant les effets de la femme elfe un peu partout sur le sol. Sans doute avaient-ils peur que ce soit l’appelle de la femme elfe qui est attirer d’autres elfes à son secours. Pourtant, Elrëlia ne reconnaissait pas là, la magie de son peuple. L’elfe était toujours attaché et elle attendait que son sauveur apparaisse, mais celui-ci ce faisait attendre. Peut être qu’il n’y avait personne et que c’était un phénomène de la nature tout simplement ? Un élémentaire ? Il était plutôt rare, même pour les elfes de voir ce genre de créature, surtout dans une forêt.

Les liens de la magnifique femme elfe était bien trop serrer pour qu’elle ne les détaches elle même. La pauvre commençait à craindre qu’une autre créature allait bientôt voir à son sort et d’une façon moins agréable que celle des voleurs. Elrëlia commença à pleurer croyant que tout espoir était peine a y penser. Elle allait mourir de faim, de froid ou dévoré par une bête.

- ouinnn…. Ouinnnnn… snif snif

Pourtant, si elle aurait prit la peine de regarder avec ses yeux d’elfe, elle aurait pu voir qu’il y avait une présence non loin d’elle caché, mais la femme à la chevelure du claire de lune était trop préoccuper à vivre ses dernière heure.

Armidir, toujours caché dans sa grande cape rouge, attendait le bon moment pour intervenir. Il entendit alors un petit cri aigu. on aurait dit que quelqu'un pleurait, mais que c'était une petite fille. Intrigué, Armidir regarda en direction de la jeune femme vit ses larmes qui coulaient sur ces joues rouges tel des petits diamants. Il se souvint de sa petite cousine qui pleurait souvent comme sa quand on lui prenait son jouet. On devait alors toujours aller la consoler et prendre soin d'elle. Cette image lui fit monter les larmes aux yeux. Il ne pouvait quand même pas pleurer devant une jeune femme. Il essuya ses larmes et, après une grande respiration, remonta sa cape encore plus sur sa tête, de façon a cacher ses yeux dans l'ombre, et cacha ses mains dans ses manches. Puis il s'avança. Sans dire un mot, il s'approcha, contourna l'arbre, défit le nœud et s'accroupit derrière l'arbre. Il espérait que la jeune femme parte, sans se préoccuper de lui. Il savait bien que la revoir lui rappellerait des souvenirs douloureux. Il resta la sans dire un mot , en espérant fort l'impossible.

Un sauveur dans une tenu des plus ténébreux défit les liens de la petite elfette. Pourtant, s’aurait du être lui qui donne le coup de grâce, mais au lieu de cela, le ténébreux personnage défit ses liens et alla ce cacher derrière l’arbre. Quelque peux étonner de la réaction de son sauveur, Elrëlia retira les derniers bout de corde et tenta de s’approcher du curieux personne :

- … Merci Ô grand et fort sauveur… me permettez vous de voir le visage de mon sauveur afin que jamais je ne vous oublie ?

La femme elfe au regard mystique pouvait facilement voir cette grande silhouette qui ne semble pas avoir de visage ni de main. Elrëlia fut encore plus étonné de voir que celui-ci avait peur d’elle. L’elfe lui donna un moment, le temps de rassembler ses effets qui traînait un peu partout. Cependant, elle constata avec beaucoup d’amertume que les brigands avait tout mangé ses vivres. Complètement au dépourvu, l’elfe se laissa tomber sur les genoux et ce mis a pleurer à nouveau.

- … Hooo non !! Ces vandales ont tous manger mes provisions !!…. snif snif Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Snif !!

Déboussolé, la belle femme elfe termina de ramasser ses effets qu’elle ce consolai de tous ravoir et retourna auprès de son sauveur. Elle chercha quelque chose dans ses effets pour lui remettre en signe de remerciement. Elrëlia avait un pendentif très spécial qui lui avait été donné par sa mère, s’en détacher ne lui plaisait pas beaucoup, mais cette inconnue lui avait sauver la vie et la vie était bien plus précieuse qu’une quelconque amulette. Elle lui tendit et dit :

- Merci à vous, ceci est pour vous récompenser de votre générosité…

une voix douce et melodieuse sortit Armidir de ses songes

- … Merci Ô grand et fort sauveur… me permettez vous de voir le visage de mon sauveur afin que jamais je ne vous oublie ?

Un frisson parcourut l'échine de l'homme. Elle voulait voir sa figure. "Elle ne pouvait évidemment pas m'ignorer" pensa t-il. Il fit mine de l'ignorer. Il ne voulait pas voir ces yeux. La jeune femme partit récupérer ses biens étendus sur le sol. Soudain, il entendit ses pleurs a nouveau.

- … Hooo non !! Ces vandales ont tous manger mes provisions !!…. snif snif Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Snif !!

Les souvenirs de sa cousine le hantait de plus en plus fort. Puis soudain, il réalisa. " Si elle me fait tant penser a elle... alors se sera pour moi comme sa réincarnation. Je doit protéger cette pauvre jeune femme." Juste au moment ou il terminait cette pensée, il vit de l'ombre apparaitre sur lui. Levant a peine les yeux, il entrevit la femme qui se tenait devant lui avec une main pointée vers lui dans laquelle reposait une magnifique amulette en or.

- Merci à vous, ceci est pour vous récompenser de votre générosité…

Longuement, il fixa l'objet, tout en tentant de garder ses yeux cachés. Puis...

-Garde le... cet objet est précieux et vaut probablement beaucoup d'argent. Si tu me la donne c'est qu'elle ne représente rien pour toi et donc tu devrais aller la vendre. En échange de t'avoir sauvé, je n'ai qu'une demande. Laisse moi t'accompagner dans ton voyage. Si tu veut, je te montrerai mon visage. Mais tu ne devra en aucun cas dire a un humain ma vraie identité.

La sueur perlait sur son front. Il n'avait montré son visage a personne depuis son départ de la ville ou il avait grandi. serai-ce maintenant qu'il devrait briser ce cycle? Peu lui importait. Il se leva et tendit sa main a la jeune femme

-Marché conclus?