Repos à Minéril (Rp Kara, Armidir et Tifanix)

Comme Armidir se mit a jouer, Il vit que Kara semblait vraiment affectée par la musique. Elle se prit la tête dans les mains et eventuellement, elle redevint une humaine. Elle se reprit puis dit

-Si tu veux éviter que je me retransforme, agit avec calme du mieux que tu pourras.

Au début il ne comprit pas se qu'elle voulut dire par la, mais il fit mine de comprendre.

-Tu ne m’avais pas dit que tu savais jouer de la flûte.

Cette phrase la le fit bien rire. En effet, il ne savait pas très bien jouer de la flûte mais...

-Avant, dans mon clan, on se choisissait tous un instrument et on devait jouer cette chanson la. C'est la berceuse que la femme du premier homme dragon lui chantait. Elle s’appelle La berceuse de Zelda en l'honneur de la femme. Moi javais choisi la flûte car elle semblait simple. Je n'étais e fait pas très bon. Tu as probablement entendu ma meilleure représentation a ce jour.

Il reprit le sac de Kara qu'il avait dû lancer et remit précieusement la flûte dedans. Il aperçu les symboles sur la flûte. C'étais des symboles semblables a ceux dans le livre de sort. Il ne prit pas le temps des lires. Il les remit dans le sac et le tendit a Kara avant d'aller remonter le campement qu'elle avait détruit.

-Au juste... qu'est-ce qui t'as prit?

Pendant qu’Armidir remonta le campement, Kara resta parfaitement immobile, allongé sur le dos, les yeux clos, essayant de contrôler la douleur que lui causait sa jambe, suite à sa transformation. Armidir lui remit son sac et Kara le prit d’une main et le mit de côté. Que s’était-t-il passé? Sans savoir pourquoi, elle se doutait bien de se qui lui avait pris. Elle réfléchit avant de commencer à raconter à Armidir se qui s’était passé, pesant ses mots puis lui déclara :

-Depuis le début, nous ne sommes que des pions dans un jeu d’échec. J’ai eu une vision cette nuit. J’ai rencontré le mage en songe. La mort de ma mère, la disparition de mon père, ta rencontre avec la femme que tu as sauvé dans ton passé. Même la rencontre avec le mage à Zakarum était fausse. Il m’a donné la pierre de cristal, qui n’était en fait qu’un objet pour pouvoir m’atteindre et réussir à me contrôler. Il peut désormais disposé de mon corps comme bon lui semble. Mais il reste encore le point sur le grimoire qu’il t’a donné que je n’ais pas encore élucidé.

Elle lui relata, donc tout se qui s’était passé dans son songe avec le mage, et se qui s’était passé par la suite, quand elle savait réveillée. La sensation que l’on prenait possession de son corps sans qu’elle puise agir. Son combat pour reprendre le contrôle, aider de son côté bestiale.
Ensuite, un long silence s’ensuivit, puis Kara ouvrit les yeux, s’assit et regarda Armidir en lui tendant sa flûte, l’air grave et sérieuse.

-Je voudrais que tu l’a garde. Si jamais je venais à perdre le contrôle et que mes yeux sont tous deux blancs, se sera ton seul moyen de pouvoir m’empêcher de te faire du mal. Mais si ça ne marche pas...

Kara s'arrêta de parler et fouilla dans son sac et en sortit un dague. Elle l'a sortit de son petit fourreau puis la montra à Armidir.

-C'est ma plus précieuse dague que je possède. La lame est faite d'argent. Comme tu le sais, elle m'est très mortel. Si la flûte ne marche pas, je compte sur toi pour faire se qui aura à faire.

Kara la rengea dans son fourreau, puis la tendit à son tour à Armidir.

Après cette discussion, Kara et Armidir dormir le restant de la nuit qui leur restait, puis le lendemain matin, ils mangèrent en discutant et décidèrent d’aller faire un dernier tour à Minéril, pour voir comment la bataille avait finit et pour récupéré leurs tigres qui leur manquait et se préparé pour leur dernière grande marche vers le château de glace.

Armidir écouta Kara relater les évènements de son rêve. Après un long silence, la jeune louve lui tendit la flûte qu'il venait tout juste de ranger.

-Je voudrais que tu l’a garde. Si jamais je venais à perdre le contrôle et que mes yeux sont tous deux blancs, se sera ton seul moyen de pouvoir m’empêcher de te faire du mal. Mais si ça ne marche pas...

Armidir prit la flûte avec soin. Il tenta de balbutiller quelque chose mais elle ne lui en laissa pas le temps

-C'est ma plus précieuse dague que je possède. La lame est faite d'argent. Comme tu le sais, elle m'est très mortel. Si la flûte ne marche pas, je compte sur toi pour faire se qui aura à faire.

Cette phrase là, Armidir ne s'en attendait pas. Elle voulait qu'il la tue. Il accepta la dague mais il savait très bien qu'il ne saurait pas réussir. Trouver le courage de l’assassiner si cela serait nécessaire. Il Savait que cela lui serait impossible. Il rangea les deux objets précieusement dans son sac

Il s'empressa d'aller se coucher pour que Kara fasse de même. Quand il eut attendu près d'une demi heure, il partit et retourna sur le rocher sur lequel il avait été quelques jours avant. La roche avait perdu toute trace de son passage. Il se rassis là ou il s'était assis mais cette fois, il se contenta de sortir la flûte. Il la regarda. Elle semblait très importante pour Kara. Il réappercut les inscription et décida de les lire.

«Malgré les ténèbres qui m’obscurcissent, l’amour me libèrera de tous mes malheurs. Kara » Armidir comprit alors que cette flûte était ensorcelée. Le nom de Kara ne semblait pas appartenir à la phrase. Il déduisit que c'était pour montrer que c'était a elle. Il l'approcha de sa bouche et se mit a souffler la même chanson que quelques minutes auparavant. Il sentit son coeur se vider et le calme s'emparer de lui a nouveau. Ce sentiment lui faisait tant de bien qu'il joua jusqu'à minuit, où il rangea ses choses et alla s’abandonner au monde des rêves. Le lendemain, il se leva péniblement et constata qu'il était encore très tôt. il sortit, prépara le déjeuner et prit le grimoire. Cet objet pouvait t'il vraiment être un traître? Il prit un élan pour le lancer au loin mais quelque chose le retint. Pourquoi? Si il le gardait, cela pourrait lui être utile durant le combat contre le mage. Il ne savait pas alors quelle bêtise il venait de faire...

Réveillée par l’odeur de la nourriture, Kara alla rejoindre Armidir qui préparait le petit déjeuner. Kara s’assit et dégusta le plat qu’on lui servit avec appétit. La nuit précédente, elle n’avait pas beaucoup dormis, même le restant de la nuit qui leur restait après se qui s’était passé, Kara n’avait pas pu fermer les yeux de la nuit et avait plus tôt concentré ses efforts pour aider sa jambe à guérir. Donc, ils prirent un petit déjeuner tranquille, tout en essayant de trouver un sujet de conversation pour remplir le vide qui se creusait encore une fois entre eux. Après tout se qui s’était passé, il était normal qu’un malaise naisse entre eux. Malgré tout, Kara continua d’agir comme si rien ne s’était passé, essayant ainsi à ne pas éveiller de veille blessure en abordant le sujet du passé d’Armdir, car Kara avait bien quelque question à lui poser à se sujet, mais elle ne voulait en rien le blesser encore plus qu’il ne l’était.

Donc, après avoir conclus qu’il était temps, Kara et Armidir défirent leur campement, puis ils réempruntèrent le tunnel dans lequel ils avaient passé un jour plus tôt et rejoignirent bientôt le bar par où ils avaient fuient. Lorsqu’ils arrivèrent à la surface, le bar dans lequel ils se trouvaient semblait en parfait état. Aucun signe dans le bar indiquait qu’ils y avaient trace de vie. Kara et Armidir s’approchèrent du battant de bois qui était la porte et l’ouvrir.

La scène à laquelle ils arrivèrent les soulagea. Les villageois circulaient dans la ville comme si rien ne s’était passé. Les deux aventuriers sortirent de l’ombre. Rien ne montrait que le village venait de se faire attaquer par une bande de gobelins sans merci. Kara regarda autour d’elle a l’a recherche d’une quelconque preuve qu’une bataille avait eu lieu, mais n’en trouva pas. Heureuse de constater que tout était en ordre, se sentant tout heureuse et pour dissiper le malaise et la peine qui restait sur et entre eux, Kara offrit un sourire radieux et plein d’enthousiasme à Armidir et lui dit:

:-Je vais cherchée les tigres, pendant ce temps, va chercher les équipements nécessaire pour notre voyage et on se rejoint à la place publique vers…midi…d’accord?

Ne laissant pas le temps à Armidir de répondre, elle lui donna un petit coup dans les côtes et partit à la hâte vers les enclos, tout en riant, malgré son boitement, couru pour ne pas laisser le temps à Armidir de la rattraper et disparu derrière les barrières de bois, agissant presque comme une enfant qui coure pour se sauver d’une tâche pas très agréable à faire ou pour retrouver de vieux amie qui lui manquaient ou pour tout simplement lui montrer que la vie pouvait rester belle et remplis d'espoir et qu'il pouvait continuer à s'amuser et lui montrer qu'elle était encore son ami.

Quand ils refirent surface, tout était normal. Ils sortirent de la taverne puis Kara se mit à déblatérer quelque chose a propos des tigres et de l'équipement. Ensuite elle partit en disant midi et place publique. «Je ne sais pas se qu'elle a pris mais elle est très énergique tout d'un coup» Sa le fit sourire. Il partit au marché. Les nains le regardaient avec le même regard qu'avant. Un regard curieux car il les dépassait tous d'une tête et demi et aussi un regard méfiant comme on a à tout les étrangers. Il aperçut un petit magasin appelé Le Petit Monteur. Le logo illustrait des crochets rattaché avec des cordes. Armidir entra et regarda autour de lui. Les murs étaient recouverts de divers objet d'escalade.

-Bonjour! Est-ce que je peux vous aider?

Un nain venait de sortir de derrière le comptoir. Il trainait une choppe de bière.

-Oui je voudrais acheter de quoi grimper les Pics blancs

Le nain regarda Armidir d’un œil observateur puis déclara

-Oubliez sa… Vous ne réussirez jamais

-Quoi?

-Sa prend du gras et du muscle pour grimper les Pics Blancs

Armidir le prit mal. Il attrapa le nain par le collet, ce qui lui fit échapper sa bière.

-Tu n’as même pas idée du chemin que j’ai fait pour arriver ici. Il n’est pas question que j’abandonne ici! J’ai quelque chose d’important a faire la haut et je vais m’y rendre.

Il redéposa le nain qui replaça son chandail. Il prit une seconde pour se reprendre puis dit :

-J’ai rarement vu quelqu’un d’aussi déterminer a monter ces foutus montagnes… bon tu voulais de l’équipement pour 2 personnes? Je t’emmène le tout.

Il alla en arrière puis revint avec deux sac plein de choses

- La dedans vous avez : des pics pour vous faire des poignes, des anneaux pour enfiler les cordes de chanvre de 100 m que voila et des ensembles complets de neige pour survivre aux plus froides températures. Il y a aussi des sifflets pour vous faire entendre en cas d’urgence et des harnais pour attacher la corde sur vous. Avec cela, vous devriez pouvoir monter. Ah oui et voici des lampe frontale si vous devez dormir dans une grotte. Mais j’espère que vous êtes riche…

Merde! Se dit Armidir. Il n’avais effectivement pas beaucoup d’argent. C’est alors que l’ombre entra dans la boutique.

-Je paierai pour lui

-L’Ombre! Quelle joie de te revoir! Tu devras me raconter la bataille.

-Plus tard.

Elle paya le petit homme et aida Armidir a amener ses choses à la place publique. Il était 10h.

-Alors! Cette bataille?

L’ombre s’assit a côté de lui.

-Quand ils ont eu fini de fouiller toutes les maisons, ils se sont fait prendre par revers. Ils surveillaient les homes mais ils avaient oubliés que les femmes naines par ici avaient du caractère. Un spectacle étonnant. Les femmes sont sortis avec divers objets ( poêle, rouleau a pâtes) et allèrent libérer les hommes. Ensembles, ils ont repoussés les gobelins dans leurs grottes.

-Eh bien… j’aurais voulu voir sa.

Ils parlèrent ainsi de tout et de rien jusqu'à ce que les douze coups sonnent. Armidir regarda autour de lui pour trouver Kara.

Lorsque Kara arriva dans l’enclos, elle passa d’abord devant un homme nain qui venait tout juste de sortir, puis avec enthousiasme elle pénétra à l’intérieur. Kara n’eut pas le temps de dire ouf, qu’un tigre bondit sur elle sans prévenir. Le tigre approcha sa gueule du visage de Kara, s’apprêtant à la croque, mais à la place, une grosse langue rugueuse passa sur son visage. Kara se mit à rire et flatta la grosse tête de sa tigresse pendant que celle-ci lui léchait le visage sans pouvoir s’arrêté.

-Ah! Ah! C’est bon, Arah, toi aussi tu m’as manqué, dit Kara tout en repoussant son tigre un peu pour la faire arrêté.

Mais lorsque Kara réussit à se dégager, un autre tigre vint lui sauter dessus. Alors, Kara se retrouva avec deux grosses têtes de tigre qui l’a regardait avec animation et n’arrêtait pas de vouloir lui lécher le visage. Après ses retrouvailles, Kara se releva, s’essuya le visage et flatta ses deux grosses bêtes qui lui avaient tant manqué. Puis, sortit de l’ombre, un enfant s’approcha à pas feutré derrière Kara, se qui valut les grognements sourds des deux tigres. Alors, Kara se retourna et remarqua que c’était un petit garçon de la famille qui l’avait hébergé, deux jours plus tôt, qui se trouvait au bas de la porte, observant la scène silencieusement. Le garçon semblait hésité à s’approcher plus des tigres et semblait à la fois intrigué et effrayé.
Pour ne pas l’effrayé d’avantage, Kara se pencha et tendit sa main vers le jeune nain et lui dit d’une voie très douce, qu’elle tenait de sa mère elfe.

-Approche! Tu n’as pas à avoir peur.

Le nain s’approcha doucement de Kara, puis prit son courage à deux mains et lorsqu’il atteignit la main de la jeune femme, il la déposa dans la sienne et Kara l’a serra tout doucement. Puis, Kara le fit s’approcher tout doucement des bêtes et il flatta leur tête. Les tigres se laissèrent faire et se mirent à ronronner comme deux gros chats. On vit apparaître un sourire joyeux sur le visage du jeune garçon et il continua ainsi jusqu’à se que Kara lui dise qu’elle devait repartir. Alors Kara prit le chemin de la sortit, alla payer le fermier qui s’était occupé de ses tigres et partis vers la place publique, suivit de ses deux gros tigres, Arah et Ridimra.

Elle marcha quelque minute et lorsqu’elle arriva enfin sur la place, elle remarqua Armidir assit sur un banc et à ses côtés…une femme! Le visage de la femme lui disait quelque chose, mais elle n’arrivait pas à se rappeler où elle l’avait déjà vue.
‘’Peu importe.’’, se dit-elle.
Pourquoi s’emporterait-elle pour quelque chose d’aussi insignifiant. Il ne faisait que parlé avec la jeune femme après tout…Puis, Kara se rappela, c’était la femme qui les avaient suivit tout le long de leur chemin et qui les avaient espionné. À ce moment-là, Kara n’eut qu’une envie. Relâcher les tigres sur elle et les laisser la dévorer. Mais Kara se retint, car de toute manière, elle remarqua que les tigres venaient de remarqué la présence d’Armidir et qu’ils voulaient bondirent sur lui, tout comme avec Kara plus tôt. Alors Kara ne les en empêcha pas et elle les relâcha. Les deux tigres évitèrent les villageois qui passèrent par là avec souplesse et se faufilèrent dans la masse de gens sans se faire repéré par le mage. Puis d’un bond, ils sortirent de l’ombre et atterrirent du premier coup sur Armidir et lui léchèrent le visage avec affection, pour lui montrer qu’ils étaient heureux de le revoir. Tout en observant la scène, Kara s’approcha à pas de loup et rit de la scène à laquelle elle assistait, tout en jetant des regards discrets vers la femme, toujours assise sur le banc, regardant la scène, elle, avec mépris et un certain détachement. Kara, canne en main, restait sur ses gardes, au cas où elle tenterait quelque chose et que si c’était le cas, elle pourrait avoir la satisfaction d’avoir pu frappée la femme.

Ce qu'il trouva ne fut pas Kara, mais bien deux tigres qui s'élançaient pour lui sauter dessus.

-Arah! Ridimra! Comme sa fait du ben de vous revoir. Ce sont nos montures, Dit-il en s'adressant a l'ombre

-Hmm. Parlant d'animal, ma panthère m'attend quelque part... Au Revoir.

Armidir ne l’avait même pas entendu. Il était trop occupé a repousser les félins de sur lui. Quand il en vint vraiment a bout, il réalisa qu’elle était partie. Il ne s’en inquiéta pas trop. Il se retourna et vit Kara en arrière.

-Hey Kara! Attrape!

Armidir lança a la jeune Hommanimale le sac plein d’objets d’escalades qui lui étaient destiné.

-On est prêt pour l’aventure!

Il s’attela sur son tigre. Celui-ci semblait enthousiaste de partir ainsi a l’aventure encore. Armidir s’en voulut alors de ne pas pouvoir lui parler de leur destination, car il se douta que celle-ci ne paierait pas à son fidèle acolyte. Il attacha le sac sur son dos et monta sur Ridimra. Au début, elle sembla le trouver lourd mais elle s’adapta. Ils partirent tout deux vers la porte et Armidir raconta a Kara la bataille comme l’Ombre lui avait raconté.

-Et d’ailleurs, pourquoi te tenait tu derrière nous comme aux aguets de quelqu’un.

Kara écouta se qu’il disait, jusqu’à ce que la femme dise :

-Hmm. Parlant d'animal, ma panthère m'attend quelque part... Au Revoir.

Avec un soulagement, Kara déposa sa canne par terre et s’appuya dessus. Elle allait s’approcher, quand Armidir réussit à se relever et lui lança un sac qu’elle attrapa d’une main.

-Hey Kara! Attrape!, lui dit-il.

Par la suite, Armidir commença à s’atteler sur son tigre, tandis que Kara jetait un bref coup d’œil dans son sac, puis s’attela à son tour. Lorsqu’ils avancèrent vers les portes, Kara écouta son ami relater la bataille qui s’était produite à Minéril, ses yeux perdues dans le vide. Puis lorsqu’Armidir lui posa une question, elle se réveilla d’un coup :

-Et d’ailleurs, pourquoi te tenais-tu derrière nous comme aux aguets de quelqu’un?

-Pour rien, lui dit-elle, avec un sourire en coin, je n’ais pas eu le temps de m’avancer que les tigres te sautaient dessus et que la femme disparaissait.

Puis ils traversèrent les grandes portes où ils y jetèrent un dernier regard, avant de se retourner et de regarder à l’horizon, les pics blancs où ils se dirigeaient.